La mise au point de ce site va , sans aucun doute, me prendre un certain temps pour ne pas dire un temps certain en regard de mes connaissances en mode HTML mais je tiens à le faire car sans savoir le pourquoi du comment, je me suis intéressé au phénomène OVNI à l'âge de 10 ans et sans avoir jamais pu constater quoi que ce soit et aujourd'hui, âgé de 56 ans, au vu et entendu du phénomène depuis toutes ces années, j'en suis arrivé à une certitude absolue, les OVNIs (réels) sont des engins d'autres mondes et l'Univers entier est habité d'êtres intelligents pour la plupart possèdant une avance technologique et spirituelle de plusieurs millions d'années sur la nôtre.
Les anciens Mayas ne sont pas contents de l' interprétation d' anthropologues qui inventent des histoires à propos des Mayas. Certains annoncent la fin du monde pour décembre 2012 alors que c'est faux, le monde ne va pas se terminer. Il sera transformé.
La Terre va bientôt s'éthériser... Elle ne va pas connaître l'Ascension maisl'Ethérisation. Et il faut s'y préparer dès maintenant. Des évènements grandioses nous attendent !
En effet, la Terre et sa Biosphère (l'ensemble de toutes les espèces vivantes) vont passer au sein du Plan Ethérique Astral, au coeur de l'Ether, dans la 4e Dimension, et vont ainsi connaître une éthérisation.
L'Ethérisation des êtres vivants se fera sur plusieurs annéesà partir de 2012. Les individus les plus évolués, les plus éveillés, partiront les premiers, les individus les moins évolués, les moins éveillés, partiront les derniers. L'Ethérisation se fera ainsi graduellement, sans évacuation de masse.
Seuls certains individus Humains et Animaux parmi les plus évolués, ceux qui ont terminé leur Cycle de Réincarnations, passeront au sein du Plan Mental, dans la 5e Dimension et connaîtront ainsi l'Ascension.
L'Ascension (dans la 5e Dimension) est toujours individuelle, seule l'Ethérisation (dans la 4e Dimension) est collective.
Le 21 décembre 2012 marquera la fin du grand cycle 13-baktun dans le calendrier Maya (13 baktuns = 13 cycles de 144 000 jours: 1 872 000 jours soit plus de 5125 ans). La date de 13.0.0.0.0 donne une idée de la date Maya de la création du monde : 6 Sep 3114 BC (Julien) = 11 Aug 3114 BC (Grégorien). Le Compte Long 13.0.0.0.0 devrait de nouveau être atteint le 21 décembre 2012. Les prévisions des Mayas étaient si précises qu'elles se basaient sur une unité de temps qui correspond à 1 millième d'une journée de 24 heures, soit moins de 1 minute et trente secondes.
La compréhension maya du temps, des saisons, des cycles est vaste et complexe. Les Mayas ont eu 17 calendriers différents, dont certains décrivent les événement temporels de façon précise pendant plus de 10 millions d'années. Le calendrier qui attire l'attention, depuis 1987, est appelé le " Tzolk'in " ou " Cholq'ij ". Il est basé sur le cycle des Pléiades, et est considéré comme sacré et détermine d'importants tournants de l'histoire de l'humanité
Les Indiens Hopis d'Arizona ont prophétisé depuis des siècles sur de nombreux événements d'ampleur planétaire. Ils avaient annoncé des générations à l'avance la venue d'une race d'hommes barbus, à la peau claire, montés sur des animaux étranges et portant des armes inconnues. Ceux-ci arriveraient d'au-delà de la grande mer de l'Est et auraient pour emblème la croix ( le christianisme ), mais ils allaient briser le cercle sacré de la nation et de l'harmonie avec la Mère Terre, en introduisant un mode de vie déséquilibré appelé Koyaanisqatsi qui serait éventuellement appelé à disparaitre. Les prophéties des Hopis sont en gros identiques à celles des Mayas.
L'une des grandes prédictions dit ceci: " Un jour certaines étoiles viendront ensemble en une seule rangée, comme cela s'est déjà produit il y a des milliers d'années. C'est le temps de purification pour la Terre. Des changements de climat et de nombreuses catastrophes peuvent se produire quand nous parviendrons à ce stade. Ce qui peut se produire alors personne ne peut le savoir réellement ". Des " étoiles en une seule rangée " ? Voilà un élément qui évoque l'alignement de toutes les planètes prévu le 21 décembre 2012. D'après cette prophétie, outre d'immenses dégâts et pertes en vies humaines, ce serait le début d'une nouvelle ère glaciaire.
Selon les indiens Hopis: Le premier monde a été détruit par un feu dévastateur qui vint du ciel et de la Terre. Le deuxième monde a pris fin quand le globe terrestre a dévié de son axe et que tout fut recouvert de glace. Le troisième monde a été anéanti par un déluge universel. Le monde actuel est le quatrième et sera anéanti par les flammes.
- 150 millions de témoins d’apparitions d’ovnis ont été recensés dans le monde - 120 000 témoignages ont été étudiés - 20 000 témoins relatent des atterrissages d’ovnis - 3 500 photos d’ovnis sont répertoriées - 4 000 traces au sol d’activités OVNIs ont été répertoriées. La majorité d’entre elles étant associées à des effets sur la végétation …..
Depuis 1947, plus de 3 500 pilotes civiles et militaires ont bravé la peur du ridicule et mis leurs carrières en péril en rapportant leurs observations d’OVNIs publiquement.
S'il était peu évident de filmer un ovni, il y a quelques décennies, dans l'ère de la technologie qui est la nôtre aujourhui, ne serait-ce qu'avec la création des mobiles, rien n'est plus facile, même si la qualité de l'image n'est pas toujours évidente. Mais, et c'est là que cela devient important, on en enregistre des milliers tous les ans et partout dans le monde et comme une majeure partie de ces engins adopte un comportement qui ne peut en rien être comparé à notre technologie aérienne, on n'a plus le droit d'en douter, il s'agit d'une technologie alienne. Bien sûr, cela dérange et surtout les pouvoirs en place et évidemment, surtout les grandes puissances avec en tout premier lieu les E-U qui n'apprécient nullement être relayé au second rang. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle le gouvernement américain ne reconnaît pas la provenance extraterrestre de ces objets. Le seul problème, c'est que bien d'autres pays ont déjà reconnu leurs existences extraterrestres et qu'ils n'auront d'autre choix que de le reconnaître dans un futur excessivement proche. Pourquoi? Parce que, comme vous vous en êtes très certainement rendu compte, tout ce qui nous a été enseigné disparaît petit à petit. Le Big Bang, la Lune sans eau, Mars désertique, l'impossibilité de l'énergie à froid...Bref, plus rien n'est comme avant et comme chaque jour qui passe nous apporte de nouvelles connaissances, l'issue est incontournable. L'Univers entier est habité et peuplé d'êtres intelligents et bon nombre bien plus avancés que nous le sommes. Personnellement, j'irai même plus loin en avançant l'idée que Nous venons de l'espace, Nous sommes des aliens provenant de divers endroits de l'espace.
Des civilisations avancées d’êtres humains existeraient-elles éparpillées au sein de notre galaxie ? On rencontre désormais des personnes convaincues que l’ADN humain contient des gènes extraterrestres aussi bien chez les physiciens, les cosmologues et les anthropologues que chez les écrivains, les médiums et les contactés. La race humaine ne serait en définitive que le résultat d’une sorte de "pot-pourri génétique" issu des manipulations successives de différents peuples galactiques.
Le "Projet Génome Humain" (PGH) a permis d’établir définitivement le séquençage génétique de notre espèce en 2004. Selon l’un des groupes de chercheurs ayant travaillé sur ce projet, il existerait un taux de probabilité très élevé que "les séquences non codantes" de l'ADN humain, qui correspondent à ce que l’on appelait auparavant l’ADN "poubelle" (Junk DNA) et qui désignent les 97 % de notre ADN dont on ignore encore la fonction exacte, proviennent de codes génétiques issus de formes humaines de vie extraterrestre.
Les séquences non codantes sont communes à tous les organismes vivant sur la Terre, des insectes aux humains, en passant par les poissons, les oiseaux et les mammifères. Selon le professeur Sam Chang, responsable du groupe, cet ADN "poubelle" serait d'origine extraterrestre. Il s’agirait de sortes de "gènes resquilleurs" qui n’auraient somme toute fait que "profiter du voyage" pour arriver sur notre planète en même temps que les gènes actifs.
Au terme d’une analyse complète menée avec l'aide d'autres chercheurs, mathématiciens et informaticiens, le Professeur Chang en est arrivé à la conclusion que l’ADN poubelle humain pourrait avoir été créé dans le cadre d’un programme extraterrestre, les parties "aliènes" de notre ADN possédant leurs propres veines et artères, ainsi que leur propre système immunitaire qui résiste vigoureusement à tous les médicaments anticancéreux.
Son hypothèse est qu'une forme supérieure d’intelligence extraterrestre s’est impliquée dans la création de nouvelles formes de vie et a décidé de l’implanter sur différentes planètes. La Terre ne serait que l’une de ces planètes. Peut-être nos créateurs ont-ils programmé de nous faire "pousser" de la même manière que nous cultivons des germes de blé ou des bactéries ? Selon le Professeur Chang, il semble en tout cas bien difficile de connaître leurs motivations et de savoir s’il s’agit pour eux d’une sorte d’expérimentation scientifique, ou bien d’un moyen de préparer de nouvelles planètes en vue d’une colonisation ultérieure, ou encore d’un processus classique d’implantation de la vie dans l'univers.
Il estime que, si l’on aborde la question du point de vue de notre logique humaine, nos "programmeurs extraterrestres" travaillaient probablement au départ sur un code-source adaptable à plusieurs projets, et que chacun de ces projets pourrait avoir produit diverses formes de vie adaptées à différentes planètes. Ils ont peut-être essayé différentes solutions : après avoir conçu le code-source, ils l’ont exécuté, n'ont pas été satisfaits de certaines applications, ont essayé de les modifier ou d’en ajouter de nouvelles, fait d'autres améliorations, essayé encore et encore... "
Professeur Samuel Chang
Le Professeur Chang a été le premier chercheur à identifier scientifiquement la forte probabilité d’une origine extraterrestre de notre humanité. Il pense qu’il est possible que nos "géniteurs galactiques" aient décidé d’interrompre leurs travaux à un moment où, pour une raison inconnue, ils se seraient trouvés confrontés à une situation d’urgence. Dans une précipitation apparente, ils auraient alors réduit le code-source de façon drastique au moment de développer le programme spécifiquement destiné à la Terre. En tant que spécialiste en oncologie, il estime possible que cette "précipitation" dans le sequençage originel de notre ADN, soit la cause de l’apparition du cancer. Car cette maladie n’est à l’origine rien d’autre que la transcription d’une erreur d’encodage sous forme de croissance illogique de la masse cellulaire.
Samuel Chang explique avoir acquis la certitude que notre ADN est un programme hybride composé d’un code-souche et d’un code spécifique à la Terre. Le fait que le code-souche soit d’origine extraterrestre, il devrait, selon lui, être prochainement admis et reconnu par l’ensemble de la communauté scientifique. D’ailleurs, les gènes humains ne permettent pas à eux seuls d'expliquer l'évolution de l’homme ; il y a nécessairement quelque chose d’extérieur qui est intervenu dans le processus.
« Tôt ou tard », affirme-t-il « nous en arriverons à l’incroyable conclusion que l’homme terrestre transporte le code génétique de ses cousins extraterrestres et que l'évolution n'est pas du tout conforme à ce que nous pensions. »
Cette extraordinaire découverte scientifique semble conforter les thèses soutenues à la fois par des channels mondialement reconnus, qui canalisent des messages transmis par des visiteurs galactiques, et par certains observateurs qui prétendent avoir eu des contacts avec des extraterrestres ayant une apparence humaine.
Barbara Marciniak
Selon Barbara Marciniak, auteur de Les Messagers de l’Aube et de Famille de Lumière, les Pléiadiens seraient des humains comme nous et représenteraient l’une des souches fondamentales de notre famille originelle. Ils seraient intervenus activement au cours des phases initiales d’ingénierie génétique qui ont abouti à la formation de l’humanité terrestre, et auraient jadis participé en grand nombre à l’établissement de notre patrimoine génétique primordial, c’est-à-dire à la mise au point de notre ADN à segmentation variable (12 segments actifs à l’origine, 2 actifs et 10 désactivés actuellement, puis, de nouveau 12 actifs à partir de 2012).
D’après elle, l’ADN cosmique de l’être humain comporte 12 filaments actifs et non pas seulement 2. « Il existe un Dessein ou Plan Divin dont nous faisons partie. » affirme-t-elle. « Ceci est dû à l’évolution de l’ADN. Lorsque les 12 spirales de notre ADN seront en place, ces spirales commenceront à se connecter sur le système des 12 chakras. Et nous pourrons nous élever bien au-delà de ce que nous avons jusqu’à présent établi comme notre limite du possible. »
La responsabilité génétique de l’humanité pléiadienne envers l’humanité terrestre aurait depuis des temps immémoriaux amené les Pléiadiens à s’investir dans une vaste mission de guidance des Terriens. C’est pourquoi ils auraient choisi de revenir vers nous, au terme de notre longue expérimentation dans l’isolement de la matière, et de révéler progressivement une partie de leur immense savoir aux canaux et aux contactés, puis aux scientifiques du monde entier, afin de nous aider à reconquérir notre rang primordial au sein de la Fraternité Galactique.
Barbara Marciniak ajoute que les Pléiadiens sont blonds, fins, élancés et d’une très grande beauté. Leur contribution au patrimoine génétique de l’humanité correspond au côté doux, aimable, délicat, attentionné, impersonnel et quasi-angélique que l’on peut observer chez les êtres les plus avancés dans leur évolution. Ils appartiennent à une race en laquelle notre humanité peut et devrait faire totalement confiance.
De nombreux contactés en sont arrivés à la même conclusion : non seulement les extraterrestres humains ont fourni une partie du patrimoine génétique nécessaire à l'évolution humaine, mais un certain nombre d’entre eux se sont incarnés comme dans des familles humaines sur la Terre en tant que "semences d’étoiles".
Ces "enfants des étoiles" sont décrits par Brad et Francie Steiger comme des sortes de cousins extraterrestres qui auraient décidé de venir s’incarner sur la Terre en vue d’accélérer le développement spirituel et l'évolution de l’ensemble de l'humanité.
George Adamski, Orfeo Angelucci, George Van Tassell, Howard Menger, Paul Villa, Billy Meier, Jacques Carter, Pierre Monnet, Alex Collier et la plupart des contactés considèrent les extraterrestres de souche humaine comme des êtres bienveillants et positifs. Et ils pensent presque tous que l’homme de la Terre a des origines extraterrestres, comme en témoigne cet extrait vidéo de 1996 où l’on voit Jacques Carter puis Pierre Monnet présenter à la télévision française des témoignages assez similaires au niveau du message spirituel qu’ils souhaitaient délivrer à notre humanité.
En 1968, un aubergiste Suisse, du nom d'Erich von Daniken publia l'ouvrage ''Présence des extra-terrestres'' (Chariots of the Gods) qui devint un best-seller international et est toujours en publication de nos jours. Selon la théorie sensationnelle de von Daniken, des “anciens astronautes” d'une civilisation avancée visitèrent la Terre dans une période très lointaine. Il trouva des preuves de leur présence dans des pétroglyphes, des artefacts religieux, des anciens mythes et, bien sûr, dans des monuments mégalithiques tels que la pyramide de Gizeh.
Provocateur, von Daniken demanda: “Dieu conduisait-il une soucoupe volante?” Cette question étant semée dans l'esprit du grand public, Dieu, les anges et tout ce qui est Biblique devinrent l'objet de spéculations ufologiques mais von Daniken n'explora pas ces associations d'une manière très cohérente et convaincante. Par contre, dans un ouvrage publié la même année, The Bible and Flying Saucers, un autre auteur le fit: Barry H. Downing, un pasteur Presbytérien diplômé de Princeton Theological Seminary et Edinburgh University. Le spectre et la profondeur de son ouvrage témoignent de son érudition tout au contraire des petites histoires à l'eau de rose de von Daniken. Mais cet ouvrage reflète aussi la foi indéfectible de l'auteur en la tradition Chrétienne: Down assume que Dieu et ses anges, même si ce sont des Extraterrestres qui naviguent dans des OVNI, sont en train de réaliser un plan divin au bénéfice de l'humanité. (Note: on m'a informé que Desmond Leslie dans son ouvrage, publié en 1952, Flying Saucers have landed, présenta tout un chapitre intitulé “Chariots of the Gods”. C'est la source à laquelle von Daniken emprunta son titre et une grande partie du contenu de son ouvrage). On peut sans doute considérer Downing et Desmond Leslie comme les fondateurs de l'ufologie Biblique, à savoir le genre d'études proposant que de nombreux événements dans la Bible ne sont que des manifestations d'interventions extraterrestres, supposés être bienveillants. Des visions telles que celles d'Ezéchiel sont considérées comme des rencontres de type rapproché. Les anges, tel que celui qui annonça la naissance de Jésus à Marie, sont considérés comme des Extraterrestres d'une évolution supérieure. Certaines interprétations considèrent même Jésus comme un extraterrestre qui vint sur Terre d'un monde beaucoup plus évolué, ou bien encore qu'il fut cloné comme un “modèle humain” par des frères cosmiques bénéficiant d'une technologie supérieure. Imaginez les grands titres: Jésus, le premier bébé cloné! Les ufologues Bibliques assument que les ET de l'espace, ou les entités de type ET, agissent d'une manière gentille et bienveillante vis à vis de l'humanité, en toute cohérence avec l'accomplissement d'un “Plan Divin”. Downing se demande si la religion Biblique fut “plantée et substantée par des entités d'un autre monde.” Il ne se contente pas de spéculer sur la présence “d'anciens astronautes” sur Terre mais il envisage leur rôle potentiel dans l'impulsion et l'orientation de l'expérience religieuse de l'humanité. Cette problématique requiert une investigation de la psyché humaine beaucoup plus profonde que celle que von Daniken entreprit. Sans l'aide de la matière Gnostique, Downing était incapable de concevoir que la religion Biblique “plantée et substantée par des entités d'un autre monde” n'oeuvre pas au bénéfice de l'humanité mais, au contraire, pour la mettre en esclavage. L'ufologie Biblique s'est amplement développée, de nos jours, mais une interprétation supplémentaire doit maintenant être envisagée, qui ne pouvait pas émerger à l'époque où Downing et von Daniken rédigèrent leurs ouvrages. Cette nouvelle interprétation se fait jour grâce à la vision d'une intervention extraterrestre proposée par les Gnostiques des Ecoles de Mystères. Bien que certaines des conceptions Gnostiques puissent être trouvées dans des argumentations obscures écrites contre eux par les premiers Chrétiens, la matière Gnostique originelle ne fut pas communément accessible avant que les Codex de Nag Hammadi, découverts en 1945, ne fussent traduits en Anglais en 1978. Les Mystères furent anéantis durant le 4 ème siècle, lorsque la cache de Nag Hammadi fut enfouie, mais ils existaient depuis des milliers d'années avant le Christianisme.
Les Gnostiques étaient des psychonautes d'une finesse et d'une envergure extraordinaires. Leur cosmologie, centrée sur la figure de la Déesse Sophia, présente une description complète et cohérente de l'origine et des méthodes d'une espèce prédatrice inorganique appelée Archontes. Bien que les textes Gnostiques décrivent des rencontres directes avec des Archontes “qui enlèvent les âmes durant la nuit”, leurs enseignements ne mettent pas l'accent sur une menace physique. Ils mettent plutôt en garde contre le fait que les Archontes nous influencent profondément dans le mental, plus particulièrement au travers de l'idéologie religieuse, au travers des croyances au sujet de Dieu et au sujet de ce Dieu veut pour nous. Pour les instructions des Ecoles de Mystères concernant les manières de confronter et de chasser les Archontes, voir Un Principe Gnostique et le commentaire sur la Première Apocalypse de Jacques. Une des idées les plus sensationnelles des Gnostiques est que Jéhovah, le dieu paternel de la religion Judéo-Chrétienne, était un Archonte, un dieu inférieur ou imposteur à ne pas confondre avec les vrais Dieux, appelés Eons, qui demeurent dans le coeur galactique, le Plérome. Jéhovah est dit être aveugle et fou, un extraterrestre dément qui possède, néanmoins, quelques pouvoirs similaires à ceux des dieux. Bien qu'il ne crée pas le monde dans lequel nous demeurons, il le croit. “Ouvrant ses yeux, il vit une vaste quantité de matière sans limite et il devint arrogant et dit: ‘C’est moi qui suis Dieu et il n’en existe pas d’autres’”. (Hypostase des Archontes. 94:20). Bien sûr, c'est exactement ce que Yahvé-Jéhovah dit dans l'Ancien Testament. Les enseignements des Mystères préservés dans les Codex de Nag Hammadi présentent très souvent une vision de la religion Judéo-Chrétienne qui la retournent comme un gant. Heureusement, la cache de Nag Hammadi, malgré qu'elle ne soit pas volumineuse, contient beaucoup d'informations claires sur le Seigneur des Archontes et ses stratégies insidieuses. Dans le Second Traité du Grand Seth, un maître Gnostique anonyme dit: “Les Archontes ont élaboré un plan à mon sujet pour répandre leur erreur et leur absurdité”. Cette ligne rappelle le commentaire lapidaire de Jacques Vallée relatif aux stratégies des extraterrestres dans Messengers of Deception: “la voie vers la croyance d'un homme passe par la confusion et l'absurdité”. Le texte cité explique comment les Archontes introduisent un faux plan de rédemption dans le mental humain, une contrefaçon du chemin authentique de l'auto-libération que nous pouvons prendre en développant notre potentiel inné de noos, “l'intelligence divine”. L'instructeur Gnostique, appelé phoster ou révélateur, ridiculise ouvertement Abraham, Moïse et les prophètes d'accepter les Archontes comme divins et de mettre leur foi dans un dieu imposteur qui oeuvre à l'encontre de l'humanité. Le Second Traité du Grand Seth dit que la “doctrine des extraterrestres” est une “gigantesque tromperie pour l'âme humaine, rendant impossible pour les humains de trouver le noos, le mental d'auto-libération, et d'arriver à connaître l'humanité réelle”. Ce que les Gnostiques voulaient dire par “doctrine des extraterrestres” est l'ensemble de croyances au coeur de la religion Judaïque et Chrétienne, et par extension de l'Islam. Les “trois grandes religions mondiales” dérivent du révéré Patriarche Abraham, considéré comme ayant vécu aux environs de 1800 avant EC. Comme l'histoire des anciens Hébreux est considérée comme exemplaire ou symbolique de l'humanité dans son ensemble, “l'histoire sacrée” de notre espèce commence avec Abraham, mais les Gnostiques estimaient qu'Abraham était un gogo, le “vecteur” psychologique pour l'intrusion des Archontes. En effet, ils rejetèrent la notion d'un “Plan Divin” supervisé par Jéhovah et dévoilèrent le rédemptionnisme Judéo-Chrétien comme une religion extraterrestre, étrangère à la Terre et hostile au potentiel humain. La critique Gnostique du Complexe du Rédempteur était dévastatrice pour les croyances chéries de nombreuses personnes, et elle l'est encore aujourd'hui, mais les instructeurs des anciens Mystères ne nous laissèrent pas sans alternatives à ces croyances reçues. Les Gnostiques enseignaient ce qu'ils incarnaient: le chemin d'illumination du mysticisme expérimental en contraste avec la croyance aveugle des dogmes rédemptionnistes. Contre la tromperie religieuse des Archontes, le Second Traité du Grand Seth invoque “l'espoir de Sophia”, affirmant notre connexion à la Déesse de Sagesse dont le corps est la Terre.
Après 65 ans de magouilles et de mensonges du gouvernement américain, on peut affirmer aujour'hui, suite à des analyses qui ont duré plus d'un an et demi, que les débris de l'objet qui s'est crashé en 1947 à Roswell sont bien d'origine extraterrestre.
L'objet était donc bien d'origine alienne
L'homme depuis toujours recherche son identité; qui il est, d'où il vient, où il va, pourquoi il est là, comment il y est arrivé...
En ce qui me concerne et loin d'être un quelconque homme de science, je me permettrai ces quelques affirmations que je ressens tout au fond de moi depuis toujours.
Nous ne descendons pas du singe
Nous ne descendons pas du poisson
Toutes les religions sont une invention de l'homme
Les "Saintes Ecritures" sont interprétations hasardeuses de dizaines d'individus lubriques
L'homme à son origine dans l'espace.
Au fil du temps, les choses évoluent et nombre de savants, scientifiques, chercheurs me réconfortent par leurs déclarations de plus en plus proches de mes convictions.
Des recherches menées à tout niveau permettent au monde de se rendre compte des changements invraisemblables qui leur sont exposés et développés et force est de constater qu'il est parfois peu évident de se faire une idée sur ce qui est vrai et ce qui ne l'est pas.
Voici une vidéo parmi d'autres, réalisée par un groupe de scientifiques sur ce qu'ils pensent être la véritable origine de l'homme. Cela va peut-être vous révolter, du moins certains mais c'est à 100% que je rejoins cette explication et cela fait des décennies...déjà.
Prenez le temps de regarder cette vidéo dans son entiereté et faites donc vos commentaires si vous le souhaitez mais de grâce, restez courtois
Chacun est libre de ses idées
Ancient Aliens - Les Aliens et la Création de l'Homme
Des bases aliens sur la Lune ?
Les Révélations de M.W.COOPER
Cet article est à rapprocher avec celui sur les photos peut-être truquées d'Apollo 11. http://lecomptoir.blogspot.com/2009/08/apollo-11-les-photos-trafiquees.html Comment démarrer cet article ? Peut-être simplement, par le commencement... Hier soir, je regardais sur internet l'histoire du premier homme sur la Lune, l'histoire de la mission Appolo XI, avec Neil Armstrong et toute sa clique. Je suis tombé sur une drôle de phrase qu'un des astronautes aurait prononcé après avoir fait le petit pas historique. Il est question d'une "lumière" dans ou sur un cratère, suivi d'une demande de plus amples informations par le centre de commande. Ce qui est fou, c'est que c'était pendant la restransmission en direct à la télévision. C'est donc clairement vérifiable. A la suite de cet échange, les téléspectateurs ont eu droit à un beau silence. Mais les restransmissions radio continuaient à affluer vers notre globe, venant de la troupe lunaire. Selon un ancien de la NASA, Otto Binder, les radio amateurs qui avaient leurs propres postes VHF captaient directement les conversations entre les astronautes et la NASA, et ont entendu l'échange suivant:
NASA: Qu'est ce qu'il y a là-bas ? Mission Control appelle Apollo 11... Apollo 11: Ces "trucs" sont immenses, Sir ! Enormes ! OH BON DIEU ! Vous ne le croirez jamais ! Je vous le dis, il y a d'autres engins spatiaux ici, alignés sur le bord éloigné du cratère ! Ils sont sur la Lune en train de nous surveiller !
Intéressant non ? Mais ce n'est pas fini ! Un professeur aurait eu une conversation d'ordre privée avec Neil Armstrong, et ils auraient échangés ces propos (malheureusement, à prendre avec beaucoup de recul puisque invérifiable):
Professeur: Qu'est ce qui s'est REELLEMENT passé avec Apollo 11?
Armstrong: C'était incroyable, bien-sûr, nous savions que la possibilité n'était pas à exclure, en fait, nous avions été prévenus ! Il n'était alors pas question d'une station spatiale ou d'une base sur la Lune.
Professeur: Que voulez-vous dire par 'prévenus' ?
Armstrong: Je ne peux pas entrer dans les détails, je peux juste vous dire que leurs vaisseaux sont largement supérieurs aux notres à la fois en taille et technologiquement. Mince, ils étaient immenses !.. et menaçants ! Non, il n'est plus question de station spatiale.
Professeur: Mais la NASA réalisa d'autres missions après Apollo 11 ?
Armstrong: Bien sûr - la NASA s'y était engagée à cette époque, et ne pouvait pas risquer de déclencher une panique sur Terre. Mais ces missions n'étaient que des visites rapides, avec retour rapide sur Terre.
Ca m'a troublé, j'en ai oublié ma fatigue et mon lit. J'ai voulu en savoir un peu plus. Je n'étais pas au bout de mes surprises ! Ainsi, des entités seraient dans notre propre système solaire, sur notre lune, à nous observer, à nous empêcher même d'aller un peu trop loin dans l'avance technologique, nous confinant à notre globe. J'ai donc orienté ma recherche sur l'activité "extra-terrestre" sur la Lune. Quand-même, si des bases existent sur notre propre satellite, ça se saurait ! Un satellite, appelé Clementine, a été lancé en 1994 pour cartographier la lune. On peut accéder au site officiel de l'US Navy et au browser Clementine, pour voir les images, ici : http://www.cmf.nrl.navy.mil/clementine/clib/ D'étranges structures peuvent être vues sur ces photos prises par Clementine. En fait, on ne les visualise pas directement, car on s'aperçoit clairement qu'elles ont été censurées, ou camouflées. Voici ces troublantes images. Je vous rappelle qu'elles sont issues directement du site de l'US Navy, on peut donc bannir toute blague, HOAX (canular), toute retouche d'images dans le but de faire croire à quelque chose. N'hésitez pas à cliquer sur les photos pour zoomer. Si vous croyez qu'elles sont trafiquées, allez voir en bas du billet où se trouve les liens des photos directement sur le serveur de la Navy (je n'ai pu faire une image directe du serveur, ça ralentissait trop). On peut voir sur cette photo deux grandes tours qui ont été clairement gommées.
Sur cette deuxième photo, encore de nombreuses choses censurées au bas de cette photo. Trois tours, et un long tuyau ou chemin (pipeline ?) reliant les bâtiments.
Le gros paté en haut, pour le coup, peut-être une erreur de compression ou de transmission radio. Ou alors l'élément à masquer était trop important. Pour le reste, le floutage est clairement rajouté en post-production (par rapport à la perspective, la zone floue ne suit en rien l'aspect sphérique de la prise de vue). Un peu plus troublant encore... Qu'est-ce qui pourrait bien se cacher derrière cette masse de pixels floutés ?
Et enfin, le meilleur pour la fin ! Le plus mauvais camouflage, on peut encore voir sur le côté droit les bords du bâtiments... Je rappelle que les images sont issues du site www.cmf.nrl.navy.mil, à savoir directement du site de l'armée américaine (Navy).
Un gros plan :
Cette dernière photo me donne des frissons dans le dos ! MISE A JOUR [19h30] : J'ai retouché cette dernière image pour l'agrandir sans perdre trop en qualité, et j'ai forcé les niveaux jusqu'à la limite pour bien discerner le gris du sombre. On voit "nettement" une masse plutôt carrée.
Construction, véhicule ou illusion ?
Voilà. Si je me suis bien exprimé, vous devez être dans le même état que moi hier soir. Maintenant, je me pose des questions : "Qu'est-ce que c'est que ce foutoir et est-ce que ces bases sont humaines ou créées par une entité intelligente extra-terrestre ?" En recoupant avec la citation de Neil Armstrong, on peut être légitimement chamboulé. D'autant que Neil n'a pas nié avoir tenu ces propos connus dans le monde de l'Ufologie. En tout cas, bien que la Nasa soit une agence civile, la plupart de ses programmes spatiaux sont financés par l'armée américaine. La plupart des spationautes et scientifiques sont donc directement dépendants de l'armée, donc du secret militaire en cas de classification secret-défense. Je peux aussi citer Gordon Cooper, astronaute américain, connu pour sa déclaration solennelle aux Nations Unies.
"Pendant de nombreuses années, j'ai vécu avec un secret, un secret imposé à tous les spécialistes de l'astronautique. Je puis maintenant indiquer que chaque jour, aux Etats-Unis, nos instruments de radar capturent des objets dont l'origine et la nature nous sont inconnues. Et il y a des milliers de rapports de témoins et une quantité de documents pour prouver ceci, mais personne ne veut les rendre publics. Pourquoi? Parce que l'autorité a peur que les gens puissent penser à Dieu sait quel genre d'envahisseurs horribles. Ainsi le maître mot est toujours: nous devons éviter une panique certaine." J'ai été en outre un témoin d'un phénomène extraordinaire, ici sur cette planète. Il s'est produit il y a quelques mois en Floride. Là, j'ai vu de mes propres yeux un secteur défini du sol brûlé par des flammes, avec quatre enfoncements laissés par un objet volant qui s'était posé au milieu d'un champ. Des êtres étaient sortis de l'engin (il y avait d'autres traces pour le prouver). Ils ont semblé étudier la topographie, ils avaient rassemblé des échantillons du sol et, par la suite, ils sont repartis d'où ils étaient venus, disparaissant à une vitesse fantastique... Il s'avère justement que je sais que les autorités ont tout fait pour garder cet incident inconnu de la presse et de la TV, dans la crainte d'une réaction de panique du public."
Si vous êtes intéressés par le sujet, il y a un site intéressant. Il faut bien évidemment prendre les choses avec des pincettes, et prendre du recul, on part vite dans le grand n'importe quoi et la super théorie du complot (qui marche pour tout, de Kennedy au 11/09, en passant par le Sida). http://www.ufologie.net/ Et plus particulièrement le chapitre consacré aux astronautes : http://ufologie.net/htm/astronautsf.htm Pour conclure, je peux dire que je suis toujours perturbé par cette découverte. Je ne sais quoi penser ! Je n'ai pas d'avis arrêté, bien qu'ayant toujours un penchant pour l'extraordinaire. En tout cas, cette histoire rejoint une théorie (ou plutôt une idée de scénario) que j'avais eu voici quelques temps. Et si les êtres humains avaient évolués avec l'aide (ou sous la surveillance) d'entités extra-terrestres ? Les religions, les mythes, directement inspirés d'observations d'OVNI passées ? Peut-être que la Terre est un laboratoire géant où les cobayes sont humains ? Ils nous gardent dans notre enclos, nous observent comme des scientifiques, en interférant le minimum avec nous. Ou alors, ils ont colonisé une bonne partie du système solaire, ayant quelques millénaires d'avance sur nous, pour utiliser les ressources des planètes. Voyant que la Terre était occupée, ils nous l'ont laissé, mais ne veulent pas trop que nous en sortions. Voilà. N'hésitez pas à laisser vos idées ou arguments dans les commentaires, si vous êtes sceptiques (ou pas). Je ne demande qu'à comprendre, à trancher ! Merci de m'avoir lu jusque là ! • Liens / Références : Les images, directement sur le serveur militaire : 1 - http://www.cmf.nrl.navy.mil/2 - http://www.cmf.nrl.navy.mil/3 - http://www.cmf.nrl.navy.mil/4 - http://www.cmf.nrl.navy.mil/ http://www.ufologie.net/ "Nous ne sommes pas seuls dans l'Espace," mémoires, par Gordon Cooper, Presses du Châtelet, 2000-2002 Une discussion intéressante à propos des images : http://www.lejdu.com/forum/
Déclarations de grands et célèbres scientifiques
Le célèbre physicienStephen Hawking, qui fut invité à la Maison Blanche, déclara à la télévision américaine le 6 mars 1998 : « Bien sûr, il est possible que les OVNIS contiennent réellement des extraterrestres comme le pensent beaucoup de gens, et que le gouvernement le cache ». Le Dr. Hermann Oberth, l'un des pères des fusées, a déclaré en 1960, une fois à la retraite, à un groupe de journalistes : « Les Ovnis sont conçus et dirigés par des êtres de la plus haute intelligence [...] Il n'y a aucun doute dans mon esprit que ces objets soient des sortes de vaisseaux interplanétaires [...] Je crois que des Intelligences Extraterrestres observent la Terre et nous visitent depuis des milliers d'années. » M. Maurice Châtelain, un des concepteurs du programme Apollo, qui était responsable des communications de la NASA, déclara en 1979 que la durée de transmission du dialogue entre la tour de contrôle de la NASA au sol et Apollo 11 permettait techniquement à la NASA de censurer des informations en provenance des cosmonautes, et il déclara même également ceci : « Tous les vols Apollo et Gemini furent suivis à distance et quelquefois de très près, par des vaisseaux spatiaux d'origine extraterrestre. A chaque fois, les astronautes en informaient "Mission Control" au sol, qui leurs enjoignait de garder le silence le plus complet. » M. Maurice Châtelain déclara aussi, en d'autres circonstances, que tout le monde à la NASA savait que les Astronautes observaient des Ovnis, mais qu'une consigne très nette fût donnée à tout le monde, à savoir : « ne jamais en parler » ! Le Dr. Dino Dini, ingénieur spatial de la NASA fit une révélation assez étonnante lors d'une émission télévisée en Suisse, en 1997, au sujet des Ovnis aperçus au cours du vol Apollo 11 : « Partout où règne la confusion, au cours de la dernière guerre, pendant la guerre du Golfe, partout où le chaos se déclenche, apparaissent ces disques volants. Ceux-ci proviennent de stations postées près de la Terre [...] Neil Armstrong (le premier astronaute à poser pied sur la lune) a vu des objets qui le suivaient, des vaisseaux spatiaux qui suivaient Apollo, et aussi des êtres vivants. Des vaisseaux ont également suivi les autres missions Apollo. C'est là une réalité attestée. C'est nous qui en avons entravé le discours global, car nous avions reçu des instructions en ce sens. Nous étions effrayés au plus haut point lorsque nous avons compris l'énorme différence qu'il y avait entre notre technique, notre science et celle des Ovnis. Il est donc évident que cela nous a amené à donner des avis négatifs, dans leur globalité. Indéniablement, le fait décevant est que nous n 'avons pas d'explications car notre science est encore pratiquement primitive en comparaison de celle de ces planètes d'où proviennent ces vaisseaux spatiaux ».
Le Dr. Lee Katchen, physicien, expert atmosphérique de la NASA, déclara le 7 juin 1968 qu'il était persuadé que les Ovnis étaient d'origine extra-terrestres et prononça les propos suivants : « Les observations d'Ovnis sont si communes que les militaires n'ont pas le temps de s'en occuper. Donc, ils les effacent de leurs écrans. Les principaux systèmes de défense (réseau SAGE) ont des filtres Ovni intégrés et quand un Ovni apparaît, ils l'ignorent simplement ». Dans un mémorandum déclassifié par le gouvernement canadien et daté du 21 novembre 1950, Wilbert Smith écrit : « Le sujet est de la plus haute confidentialité pour le gouvernement des Etats-Unis, plus secret même que la bombe H. Les soucoupes volantes existent et leur mode de fonctionnement est inconnu ». Déclarations d'Astronautes, Cosmonautes et Piïotes : Scott Carpenter qui a participé au programme Mercury, a déclaré : « A aucun moment, alors qu'ils étaient dans l'espace, les astronautes n'étaient seuls : ils étaient surveillés en permanence par les Ovnis » Le Sénateur, colonel John Glenn, le premier astronaute américain a déclaré : « Certains rapports sur les Ovnis sont fondés. ». Le même, quelques années plus tard, c'était le mardi 6 mars 2001, déclara sur la chaîne américaine NBC : « En ces jours glorieux, j'étais très mal à l'aise lorsque l'on nous demandait de dire des choses que nous ne voulions pas et d'en démentir d'autres. Certaines personnes nous demandaient, vous savez, étiez-vous seuls là haut ? Nous n'avons jamais répondu la vérité, et cependant nous avons vu des choses là-bas, des choses étranges, mais nous savons ce que nous avons vu là-haut. Et nous ne pouvions réellement rien dire. Nos supérieurs avaient vraiment très peur de cela, ils avaient peur d'un truc du genre de la guerre des mondes, et de la panique générale dans les rues. Donc, nous devions rester silencieux. Et maintenant nous voyons ces choses seulement dans nos cauchemars ou peut-être dans des films, et certaines sont très proches de la vérité ». Le Major Gordon Cooper, déclara avoir vu des Ovnis dans les années 50 en tant que pilote de chasse : « Pendant plusieurs jours d'affilée nous avons observé des engins métalliques en forme de soucoupes, à de très hautes altitudes au-dessus de la base, et nous avons essayé de nous rapprocher d'eux, mais ils étaient capables de changer de direction beaucoup plus rapidement que nos chasseurs. Je crois vraiment que les Ovnis existent et que les véritables cas inexpliqués proviennent d'une autre civilisation technologiquement avancée ». En 1985, environ trente ans plus tard, G. Cooper fit une déclaration solennelle aux Nations Unies : « Je crois que ces vaisseaux extraterrestres et leurs équipages qui visitent la Terre à partir d'autres planètes sont d'une manière évidente plus avancés technologiquement que nous. Je pense que nous avons besoin d'un programme coordonné de très haut niveau pour collecter et analyser scientifiquement les données de l'ensemble de la planète sur les différents types de rencontre afin de déterminer comment interagir au mieux avec nos visiteurs d'une manière amicale. Nous devrions tout d'abord leur montrer que nous avons appris à résoudre nos problèmes de manière pacifique plutôt que par la guerre, avant d'être acceptés en tant que membre à part entière de l'équipe universelle. Cette admission offrirait à notre monde de fantastiques possibilités de progrès dans tous les domaines. Il semblerait alors certain que les Nations Unies possèdent un droit acquis à traiter ce sujet de façon appropriée et rapide. Pendant des années, j'ai vécu avec un secret, le secret imposé à tous les spécialistes et les astronautes. Je peux maintenant révéler que chaque jour, aux Etats-Unis, nos radars repèrent des objets de forme et de nature inconnues. Et il y a des milliers de rapports de témoins et quantités de documents qui le prouvent, mais personne ne veut les rendre publics. Pourquoi ? Parce que les autorités ont peur que les gens imaginent une espèce d'horribles envahisseurs. Donc le maître mot demeure : Nous devons éviter la panique à tout prix ».
L'Astronaute Edgar D. Mitchell, qui a piloté le module lunaire d'Apollo 14, a déclaré en 1971 : « Nous savons tous que les Ovnis sont réels. La question est : d'où viennent-ils ? ». Le même E. D. Mitchell déclara encore lors d'une conférence publique : « Je suis convaincu qu'il existe d'autres formes de vie dans l'univers. La question est de savoir quel est leur degré de développement, combien de milliers d'années de plus que nous. D'après ce que je sais aujourd'hui, d'après ce que j'ai vu et expérimenté, je pense que les preuves sont formelles et beaucoup d'entre elles sont classées "top-secret" par le gouvernement ». Le Cosmonaute russe, Georgiy M. Grechko qui a participé à plusieurs missions Soyuz et Salyut a déclaré : « Si j'étais libre de dire ce que j'ai vu dans l'espace, le monde en serait stupéfait ». Le Commandant pilote J. Howard, a déclaré avoir vu un immense cigare volant accompagné de 10 soucoupes volantes et dit : « Ce doit être des espèces de vaisseaux aériens d'un autre monde ». Le Commandant pilote W.B. Nash a déclaré avoir vu et observé 6 gros disques volants et dit : « Je crois que ces engins étaient commandés par des Intelligences Extraterrestres. ». Déclarations d'hommes politiques : Jimmy Carter, Président des Etats-Unis de 1977 à 1981 déclara lors de sa campagne présidentielle avant d'être élu comme Président : « Si je suis élu président, je ferai en sorte que toutes les informations détenues par ce pays sur les observations d'Ovnis soient disponibles pour le public et les scientifiques. Je suis convaincu que les Ovnis existent parce que j'en ai vu un ». Une fois élu, il n'a rien fait, mais peut-être n'a-t-il pas pu (?) M.Mikhaïl Gorbachev, Président de l'URSS, déclara le 4 mai 1990 au journal "Jeunesse Soviétique" : « Le phénomène Ovni existe vraiment et il doit être traité sérieusement ». L'Amiral Roscoe H. Hillenkoetter qui fut le premier directeur de la C I A. déclara le 27 février 1960 : « II est grand temps que le Congrès fasse éclater la vérité grâce à des auditions publiques [...] Mais par le secret officiel et le ridicule, on a amené les citoyens à croire que les Ovnis sont des absurdités. Pour cacher les faits, l'Armée de l'Air a réduit au silence son personnel ». M. Albert M. Chop , directeur adjoint des relations publiques de la NASA qui fut également rapporteur de FUS Air Force au sein du Projet Blue Book a déclaré : « Je suis convaincu depuis longtemps que les soucoupes volantes sont réelles et d'origine extra-terrestre. Déplus, nous sommes observés par des êtres venant de l'espace. ». M. Dick D'Amato, spécialiste de la sûreté nationale et internationale pour le sénateur Robert Byrd et membre du Conseil National de la Sécurité (US) a déclaré en 1991 : « ...Une faction occulte du gouvernement, d'une puissance incroyable, a tenu secrètes les informations sur les Ovnis et ils ont dépensé illégalement d'énormes sommes d'argent dans cette opération ». M. Nick Pope, fonctionnaire au ministère de la défense de Grande-Bretagne, qui était au cœur de la recherche secrète sur les Ovnis pour le gouvernement pendant 4 ans, de 1991 à 1994, avait fait sensation en déclarant plus tard : « Je crois aux extraterrestres », et il publia un livre "Open Skies, Closed Minds" ("Ciel ouvert, Esprits fermés"). Il a eu accès à des informations "top-secret". Ses supérieurs hiérarchiques en devinrent furieux, mais M. Nick Pope ne s'est pas rétracté.
Cette liste de personnes et de leurs propos sur ce sujet, déclarés et/ou écrits, est très loin d'être exhaustive, il n'y aurait pas assez de place sur ce site pour mettre de toutes les déclarations existantes et connues...
Source.Extraterrestres.ch
Le retour des ovnis en Russie
15 avril, 2013Svetlana Smetanina, ovni, union soviétique, objets volants non identifiés, conférence de Ziguel
Au temps de l’Union soviétique, les objets volants non identifiés (ovnis) étaient pris très aux sérieux. Le KGB et le ministère de la Défense disposaient de services spéciaux, chargés d’observer et analyser les phénomènes paranormaux. Certains services militaires sont même, parait-il, parvenus à entrer en contact avec ces engins.
Aujourd’hui, les thèmes paranormaux font si souvent la une des tabloïdes que les scientifiques sérieux préfèrent se taire, ne voulant y être associés. Crédit : Leonid Savinov / RIA Novosti
A question surprenante, réponse non moins incroyable de Dmitri Medvedev lors d’une interview récente sur la chaîne russe REN-TV. Une journaliste a demandé à l’ancien président s’il était vrai que, lors de la prise de fonction, en plus de la valise nucléaire, on lui remettait aussi un dossier secret sur les ovnis. Ce à quoi le Premier ministre a répondu sans sourciller qu’en effet, c’est un dossier confidentiel des services de renseignement sur les extraterrestres présents sur le territoire russe. Il ne peut en aucun cas en dévoiler le nombre pour ne pas semer la panique. Pour toute information complémentaire, il a conseillé de visionner le film « documentaire » Men in black.
Cet humour sert à masquer une réalité intacte depuis l’époque soviétique : les ovni et autres phénomènes paranormaux restent un sujet classé secret défense et qui ne peut être discuté en public, tout du moins par les représentants officiels.
En revanche, certains scientifiques ou anciens haut gradés soviétiques n’hésitent pas à lever le voile sur le secret des ovnis, comme lors de la dernière « conférence de Ziguel » qui s’est tenue en mars dernier à Moscou. Du nom de Felix Ziguel, astronome et mathématicien soviétique et célèbre ufologue reconnu, ce cycle de conférences biannuelles est consacré à l’étude de phénomènes paranormaux.
Ziguel a été le premier en Union soviétique, dans les années 60, à attirer l’attention sur le sérieux du thème des ovnis, considérés jusque-là comme un élément de l’imaginaire fantastique. Grâce à lui, un grand nombre de personnes a commencé à s’intéresser et à recueillir des informations sur le sujet.
C’est en 1978 que les autorités officielles ont changé leur attitude face au phénomène. Après que des milliers de gens en état de choc ont témoigné avoir observé pendant quelques heures un objet étrange briller dans le ciel et que les pays voisins aient exigé de rendre compte d’étranges exercices militaires aériens.
La dernière goutte d’eau fut la lettre adressée par l’académicien Alexandrov, inventeur des centrales nucléaires, au gouvernement, pour le convaincre de prendre ce sujet au sérieux et de mettre en place un programme spécial pour étudier ce genre de phénomènes.
L’Etat désigna le général-major Vassili Eremenko, membre de l’Académie sur les problèmes de sécurité et de l’ordre, représentant de l’aviation militaire, qui fut chargé de créer un département spécial pour recueillir les informations concernant les ovnis.
Vassili Eremenko raconte à La Russie d’Aujourd’hui avoir alors réuni une multitude de témoignages de phénomènes paranormaux. Des consignes ont même été dictées aux forces aériennes pour prévenir toute forme de représailles en cas de rencontre avec un ovni.
Au début des années 80, une première prise de contact avec un ovni a été tentée, sur le polygone militaire de la région d’Astrakhan. Les experts avaient observé que ces phénomènes se multipliaient dans les endroits de concentration d’activité militaire.
« Nous pouvons affirmer que, durant ces essais, nous avons réussi à contacter les ovnis. Pour celà, il suffisait de procéder à des déplacements massifs d’engins militaires, de multiplier les décollages d’avions de chasse. Nous arrivions à obtenir l’apparition d’un ovni dans presque 100% des cas », explique Vassili Eremenko. Ils se manifestaient sous forme de grosses boules de lumière.
Avec le temps, tout le monde s’est habitué, c’était devenu normal. Certains ont alors tenté d’entrer en contact direct avec ces manifestations extraterrestres.
« Ça se passait ainsi : depuis la terre, quelqu’un agitait les mains, deux fois à droite, deux fois à gauche. Et la forme dans le ciel se déplaçait deux fois à droite, deux fois à gauche. Nous ne savons cependant pas comment l’expliquer », avoue le général-major.
Les spécialistes militaires et les scientifiques ont fini par émettre trois hypothèses : ce peut être le résultat d’un phénomène naturel que la science ne peut encore expliquer. Deuxième solution : ce sont des appareils espions américains ou japonais. Ou encore la manifestation d’une civilisation extraterrestre.
Aujourd’hui, les thèmes paranormaux font si souvent la une des tabloïdes que les scientifiques sérieux préfèrent se taire, ne voulant y être associés. Eremenko assure qu’à plusieures reprises, dans le cadre de conversations privées, des pilotes et cosmonautes lui ont raconté avoir été confrontés à de tels phénomènes. Mais ils refusent d’en parler en public. Notre spécialiste reste convaincu que ce sujet mérite d’être pris au sérieux car il touche à la sécurité du pays.
Les solutions apportées au problème OVNI ne sont que des mensonges supplémentaires pour servir la cause de ceux qui ont intérêt à nous tenir dans l’ignorance. Admettre et apporter de vraies réponses sur l’existence des OVNI reviendrait à expliquer les pouvoirs des forces occultes, les lois de l’univers, ainsi que, par voie de conséquence, le sens de la vie. Mais dans l’état actuel des choses, certaines de ces connaissances apporteraient des pouvoirs trop considérables pour le peu de sagesse dont fait preuve l’humanité. Cela explique à la fois que les vrais OVNI se fassent le plus discret possible, mais aussi qu'une certaine élite ayant connaissance de certains de ces pouvoirs ne se gène pas pour en faire usage, aux risques et périls de l’ensemble de la planète.
Source. Area51blog
Magouilles, cachoteries et mensonges
Lorsque l'accès à un document gouvernemental ou militaire est restreint par une loi ou un règlement à un groupe spécifique de personnes pour des raisons de sécurité nationale (ou supra nationale éventuellement), il est dit « secret défense ». Des niveaux d'habilitation d'accès aux informations dites classifiées sont établis par l'autorité ad hoc aux personnes physiques ainsi qu'à des personnes morales devant accéder à ces informations.
En France la définition en est très large ; « présentent un caractère de secret de la défense nationale... les renseignements, procédés, objets, documents, données informatiques ou fichiers intéressant la défense nationale qui ont fait l’objet de mesures de protection destinées à restreindre leur diffusion » et peu précise puisque « peuvent faire l’objet de telles mesures les renseignements, procédés, objets, documents, données informatiques de fichiers dont la divulgation est de nature à nuire à la défense nationale ou pourrait conduire à la découverte d’un secret de la défense nationale », assez proche selon le Conseil d'État, en termes de définition et de statut du « secret diplomatique»[1],[2] qui classe le secret diplomatique parmi les secrets « voisins » du secret-défense, mais en jugeant sa définition (« « tous les renseignements qui ont trait à la politique étrangère de la France » ») encore plus vague[2]. Il est assez proche aussi du « secret des services d’information de la police ». Des décrets plus précis définissent par exemple les lieux concernés par le secret défense[3]. La notion de renseignement a en 2010 été remplacée par celle d'« informations, réseaux informatiques»
Pour de nombreux sujets, le secret défense de documents archivés peut être levé après un certain délai, permettant aux historiens de pouvoir étudier des informations, jusqu'alors cachées.
En fait les termes «secret défense» ne sont là que pour cacher la vérité au monde et ce à tous niveaux, bref à nous cacher toute la vérité, tout ce qui se passe sur notre planète pour « ne pas nous faire paniquer »
Voici un vidéo parmi des centaines d'autres qui vous fera dévouvrir ce que représentent « le pouvoir » et ce fameux « secret défense ». Le Vatican faisant partie de la tête de toute ces magouilles alors que nous sommes des centaines de millions à croire à ce qu'elle représente mais qu'elle ne vaut pas un pet des lapin.
Le Vatican, un ramassis d'escrocs et de menteurs mais aussi la plus grande organisation mafieuse de la planète.
L'étrange zone du silence méxicaine, et les crash UFO...
La Zone du Silence, en espagnol : la Zona del Silencio, est une zone désertique située au nord du Mexique au Bolsón de Mapimí, plus précisément au tripoint des États de Chihuahua, Durango et Coahuila.
Elle a été remarquée la première fois dans les années 1930 par Francisco Sarabia, un pilote mexicain qui a prétendu que sa radio avait mystérieusement cessé de fonctionner lorsqu'il l'avait survolée. Par la suite, d'autres personnes auraient signalé une disparition des signaux radio et des « pannes de boussole » lors de la visite du secteur, qui attirerait de plus les météorites et susciterait divers problèmes mentaux chez les visiteurs.
Cette zone se situe sur la même parallèle que le Triangles Des Bermudes et que les grandes pyramides de Gizeh.
Des aberrations magnétiques rendent les communications radios impossibles dans certaines parties du secteur, ce qui est officiellement connu sous le terme Vertice de Trino : l'endroit où les frontières des trois états mexicains de Durango, Chihuahua et Coahuila se rejoignent entre le 36° et le 38° parallèle.
Afin de décourager tout bavardage paranormal, les scientifiques mettent souvent l'accent sur les fascinantes anomalies biologiques découvertes par les chercheurs à cet endroit : d'étranges reptiles et une végétation unique à la région, région qui se trouvait submergée il y a très longtemps, comme le prouvent les fossiles marins que l'on peut trouver éparpillés sur les lieux.
Il est intéressant de noter que certains sites web officiels n'hésitent pas à mentionner la légende surnaturelle qui s'est formée autour de la Zone du Silence, telle que la croyance qu'une région avec les mêmes caractéristiques doit exister quelque part, de l'autre côté du monde, perdue en Asie centrale, un endroit où les « énergies terrestres » se concentrent.
La pleine conscience de la Zone du Silence en tant qu'anomalie a vu le jour au début des années 1970. Le professeur et journaliste mexicain Santiago García, habitant à Torreón dans l'état de Coahuila, décida de se rendre dans cet endroit bizarre pas loin de chez lui (à environ 95 km) et de rédiger un des premiers articles disponibles pour le lecteur profane.
Le Pr Garcia, citant les recherches disponibles à l'époque, mentionna qu'un cadre de la NASA – le Dr. W. Richard Downs – avait marqué les cartes de la région de Ceballos d'un X à cause du fait que le mouvement planétaire de la Terre produisait « une tornade électronique qui entrave la libre transmission des ondes hertziennes » dans des endroits comme la Zone du Silence tout en attirant des particules métalliques d'origine extraterrestre, comme l'attestent les presque régulières chutes de petites billes métalliques dans le secteur, phénomène connu localement sous le nom de « guíjolas ». D'où son importance pour les chercheurs.
De plus grands objets ont aussi été attirés par le charme inexplicable de la Zone du Silence. Aux premières heures du 8 février 1969, l'obscurité désertique se transforma en lumière aveuglante quand une énorme météorite dégringola vers le hameau de Pueblito de Allende.
Les habitants comparèrent la blancheur actinique de la météorite en feu à « regarder dans une ampoule ». L'impact de l'objet provoqua une onde de choc massive qui produisit le son le plus fort jamais entendu dans la région depuis que l'homme moderne l'occupe. La météorite d'Allende, comme on la connait maintenant, est la plus grande des particules attirées vers cette région du monde.
Des ovnis dans le désert...
Certains des premiers rapports d'observation d'ovnis dans la région remontent à des incidents qui se sont produits lors de la Révolution Mexicaine (1910-1921). Un de ces récits, compilé dans le Los Ovnis en Mexico (Posada, 1972) du Pr Garcia, vient d'un paysan, Matías López, 79 ans à l'époque de l'écriture du livre, qui se souvenait avoir vu des boules de feu dans le ciel au-dessus de San Pedro, Coahuila, alors qu'il avait seulement 15 ans.
Ses aînés disaient que les boules de feu étaient « les feux de la fin du monde » qui consumeraient entièrement notre planète, en accord avec certaines croyances religieuses. Des bolides similaires ont été rapportés ailleurs au Mexique, même par des militaires, comme l'atteste l'incident de 1967 impliquant le navire de guerre Guanajuato.
« Mais comme ça s'est passé, le monde n'a pas fini », dit le vieux fermier à Garcia, « et les boules de lumière ont continué à apparaître. Je m'y suis habitué car je les voyais la nuit quand je rassemblais les vaches pour les mettre à l'étable. Certains faisaient le signe de croix et d'autres courraient chez eux mais moi je restais tranquille dans le champ à regarder ces choses plutôt jolies à voir. »
Quant à la taille des objets, Lopez indiqua une taille apparente de 12 m, de couleur rouge allant vers le jaune et émettant des « jets » d'étincelle partout. « Elles allaient en haut et en bas, montaient et descendaient et elles faisaient beaucoup de bruit. De petits sifflements et puis de gros fracas, comme la foudre ».
En octobre 1970; le Pr Garcia interrogea Guadalupe Becerra, une jeune témoin de la haute étrangeté locale, dans la ville de La Goma, Durango. La jeune fille de 12 ans lui dit qu'il y avait toujours des phénomènes lumineux dans la région : « j'ai vu une lumière brillante dans le ciel, ça ressemblait à une roue.
Elle est venue petit à petit vers la montagne qu'on appelle La Ballena et la lumière était si forte que j'ai dû fermer les yeux car ça me brûlait. Cette chose est descendue petit à petit au-dessus de la montagne et elle est restée là un moment. »
L'objet est devenu plus brillant et a filé rapidement dans le ciel, devenant plus petit « comme une étoile et je ne l'ai plus revu ». Un phénomène similaire à celui décrit par Becerra s'est produit 37 ans plus tard à Maxala, Guerrero, à des milliers de km de là.
Une observation d'ovni vraiment spectaculaire fut rapportée un soir de septembre 1976 vers 20h59 quand les habitants de Ceballos remarquèrent la présence écrasante d'un objet géant à la périphérie de leur communauté. Au moins deux douzaines d'habitants se rassemblèrent dans la rue principale de Ceballos pour regarder « l'appareil » suspendu en l'air, comme s'il attendait un signal.
La funeste machine, si c'en était une, fut estimée à 300 m de long avec une forme globale rectangulaire. Des lumières entouraient l'objet, qui allaient du vert au blanc en passant par le bleu, pulsant au rythme d'un bourdonnement sourd émanant des profondeurs de ses entrailles.
L'effrayante situation fut empirée par les chiens de la ville qui se mirent soudain à hurler et aboyer à l'unisson. Jose Madero, un vieil habitant décidément vaillant, pensa que l'intrus devait être un ballon ou un dirigeable quelconque et s'en approcha. Il le décrivit comme étant de couleur argentée vu de près, presque comme de l'acier. Finalement l'objet s'éleva et se dirigea vers la Zone du Silence.
Les gens sont étranges quand vous êtes un étranger…
L'étrangeté ne se limite pas aux objets observés dans le ciel par les éleveurs et les fermiers du désert. En 1975, un couple entreprenant conduisait dans la Zone du Silence dans un tout nouveau pickup Ford pour ramasser des fossiles et les cailloux inhabituels que l'on y trouve à profusion.
Alors qu'ils s'affairaient, ils remarquèrent qu'une pluie torrentielle se dirigeait vers eux. Espérant éviter de se trouver pris sous le déluge, ils grimpèrent sagement dans leur véhicule et se dépêchèrent mais pas assez vite pour éviter la pluie implacable. Le chemin au devant d'eux se transforma en marécage, le pickup fut rapidement pris au piège et s'enfonça dans le terrain meuble.
Tandis que le couple luttait pour empêcher leur véhicule de s'embourber, deux personnages s'approchèrent d'eux, leur faisant signe de la main à travers la pluie torrentielle. Deux hommes extrêmement grands en ciré jaune avec une drôle d'allure, mais rien d'alarmant, offrirent leur aide pour les remettre en route.
Les hommes demandèrent au couple totalement trempé de remonter dans le véhicule pendant qu'ils poussaient. Avant que le couple ne s'en aperçoive, leur pickup était sorti du trou et se trouvait sur la terre ferme. Quand le mari sortit une nouvelle fois pour remercier les deux hommes, ils n'étaient plus là. Il n'y avait aucune empreinte et rien qui aurait pu cacher leur départ.
Les gens qui traversent la zone rapportent régulièrement voir d'étranges lumières ou des boules de feu manoeuvrer la nuit, changer de couleur, rester immobiles et puis filer à toute allure. Deux fermiers qui rentraient d'une fête virent une lumière brillante descendre du ciel et déverser ses occupants humanoïdes, qui brillaient de la même lueur effrayante et marchèrent vers eux. Les fermiers déguerpirent en vitesse.
On peut trouver des traces physiques de ces visites nocturnes…
Un témoin retourna un matin à l'endroit où il avait vu de mystérieuses lumières faire des cabrioles la nuit précédente et découvrit que les broussailles « avaient été brûlées ». On compte des douzaines de récits semblables en provenance de la zone, et de la part de témoins fiables.
La tendance sceptique grandissante en recherche ufologique tend à délaisser ces cas intéressants en faveur d'autres qui présentent clairement un aspect militaire ou gouvernemental. La Zone du Silence peut également en offrir : en été 1970, une roquette Athena décolla de la base de l'US Air Force à Green River en direction de la base de lancement de missile White Sands au Nouveau Mexique.
Le lancement au départ ordinaire devint bientôt source d'inquiétude quand le projectile dévia soudain de sa trajectoire comme s'il était attiré par une force externe, obligeant les contrôleurs à annuler la mission à mi-vol, espérant que la roquette plongerait dans le désert, du côté américain de la frontière.
L'ordre de « tuer » les étages du projectile aurait pu fonctionner mais le dernier étage, qui portait la charge utile s'activa de lui-même pour une mise à feu de 4 secondes qui l'emporta tout droit vers la Zone du Silence.
Un état d'alerte s'ensuivit et une mission de récupération fut ordonnée, peut-être avec plus d'empressement que d'habitude car l'Athena portait une charge utile inhabituelle et controversée.
Des années plus tard, il fut révélé que la pointe avant était remplie de cobalt, soi-disant pour tester les conditions de rentrée atmosphérique. La préoccupation initiale tournait autour de la possibilité qu'un signal radio avait délibérément fait dévier le projectile, mais aucune interférence de ce type ne fut jamais découverte.
La possibilité que la roquette de 6 tonnes et sa charge radioactive puisse s'écraser sur la population aux États-Unis ou au Mexique était bien trop horrible à contempler. Assistés par des cavaliers et des fermiers du coin, une équipe de récupération de l'Air Force, envoyée de White Sands entra dans la Zone du Silence pour récupérer l'objet. Étant donné le terrain de la Zone et son étrangeté globale, la charge capricieuse fut finalement localisée depuis les airs : un appareil de vol à basse altitude équipé de scanners à radiation la découvrit finalement près du promontoire connu sous le nom de Cerro San Ignacio.
Ce fut précisément cette lecture de haute radiation dans le secteur qui suscita un incident encore plus étrange.
Le gouvernement mexicain demanda que l'Air Force enlève toutes traces de débris, jusqu'au sable même du cratère de l'impact. Transporter des tonnes de sable irradié par camion étant complètement infaisable, des mesures plus extrêmes furent prises : une voie ferrée dédiée fut construite jusqu'au site du crash où de gros chargeurs frontaux pouvaient remplir facilement les wagons !
D'autres sources prétendent que le sable fut en fait déversé dans des milliers de gros fûts qui se trouvent maintenant quelque part sur le territoire américain, soit oubliés, soit plus probablement associés à une improbable histoire de « récupération de soucoupe volante ».
Source : Inexplicata / Scott Corrales, Institute of Hispanic Ufology/Traduction : Maat
Cette zone du silence est tout de même assez spéciale, notons-le…
Les enregistrements au magnétophone s'altèrent, les pluies de météorites sont incessantes, la flore et la faune croissent de façon peu commune suivant des mutations uniques en leur genre, les boussoles s'affolent et perdent le nord, les vaches viennent y agoniser comme dans un cimetière d'éléphants et, pour finir, plusieurs témoins affirment y avoir vu des soucoupes volantes et même rencontré des extra-terrestres.
Etrangement le siège de la NASA est situé lui aussi entre les mêmes parallèles !
Une situation géographique prédestinée, entre les parallèles du triangle des Bermudes et de la pyramide de Gizeh, la "zone du silence" se situe entre les parallèles 26 et 28, dans un lieu baptisé le Vortex de Trino.
Elle partage sa localisation entre ces deux parallèles avec d'autres zones mythiquement célèbres comme le triangle des Bermudes, la pyramide de Gizeh, en Égypte, les villes sacrées du Tibet et la base de Cap Canaveral ou Cap Kennedy, siège de la NASA, aux Etats-Unis.
Ce qui tombe du ciel dans la zone du silence…
Si la zone est capable d'attirer plus de météorites qu'aucune autre sur la Terre, incluant les corps célestes les plus énormes comme la fameuse météorite d'Allende, prétendue intelligente pour avoir changé de trajectoire afin d'éviter une collision imminente avec la sonde spatiale soviétique Venus-5, elle attire aussi les bolides en tout genre, jusqu'aux navettes spatiales américaines.
Les habitants du ranch Chupadero, en 1938, furent témoins de la chute d'un énorme bolide qui fut localisé tardivement et estimé d'un poids de 14 tonnes.
En 1975 s'écrasa un météore d'un poids de dix tonnes aux environs du même ranch. Dans l'hacienda de Morito, près du village d'Allende, on en trouva un de sept tonnes.
Le 11 juillet 1970, un an après la chute du météore d'Allende, partait le missile Atena de Green Rive dans l'Utah, et qui se dévia de plus de 1000 km de sa course originale pour venir s'écraser dans la "zone du silence", comme attiré par un aimant.
Les investigations de l'Institut technologique des études supérieures de Monterrey ont démontré une haute incidence de radiation cosmique dans cette région, ainsi que l'incidence des rayons solaires qui y est 35% plus forte que dans n'importe quelle autre endroit du globe.
Pour les mêmes raisons que la carapace des tortues mutantes de cette région, est de couleur et de constitution uniques au monde, avec de jolis dessins en forme d'hexagone, à leur suite, des tribus de lézards, de serpents, de reptiles et d'insectes en tout genre vivent chacun une mutation particulière et unique au lieu. Celle-ci affecte également les lièvres du désert, les rats, les coyotes, et toutes les espèces animales propres à la région.
Quant aux cactus, en majorité des nopales violacés brûlés par les vents solaires, ils ouvrent le défilé aux mutations des arbustes tels que les yucas, candelillas, et mezquites.
Cet endroit du globe, endroit du globe, serait à l'origine de cette mutation qui forçe ces tortues à développer des yeux jaunes, filtres naturels qui les protègent des rayons ultra-violets.
Cette zone circulaire du silence aurait un diamètre de 300 km !
Voici un épisode de Chasseurs d’ovnis, qui justement enquête dans cette étrange zone.
Selon les rapports de renseignements Mexicains, deux incidents de nature OVNIs se sont produits dans cette région isolée du Mexique, à 33 ans d'intervalle.
Les deux sites ont été immédiatement interdits d'accès, puis fouillés par les militaires qui ont par la suite nié l'existence de toute manifestation inhabituelle.
Etonnament, il resterait encore des preuves du passage des Ovnis sur les 2 sites d'écrasement. Ces sites seraient-ils la clé du mystère entourant les Objets Volants Non-Identifiés ?
STEVEN GREER
LE REVOLUTIONNAIRE "EXTRATERRESTRE"
Steven Greer, est un américain de 58 ans qui s'est fait connaître le 9 mai 2001 en présentant au National Press de Washington un projet-manifeste appelé "Disclosure Project" , mot anglais qui signifie en français "Projet Révélation".
The "Disclosure Project" is a research project working to fully disclose the facts about UFOs, extraterrestrial intelligence, and classified advanced energy and propulsion systems. We have over 500 government, military, and intelligence community witnesses testifying to their direct, personal, first hand experience with UFOs, ETs, ET technology, and the cover-up that keeps this information secret.
Traduction :
Le 'Projet Révélation' est un projet de recherches travaillant à entièrement divulguer les faits OVNI, l'intelligence extraterrestre et les systèmes d'énergie avancée et de propulsion. Nous avons plus de 500 témoins du gouvernement, de l'amée et de la CIA certifiant de leur contact direct, personnel et vécu avec des Ovni, E.T., technologie E.T. ainsi que la dissimulation pour garder cette information secrète.
Dès ce début de l'année 2001 je venais de mettre le doigt sur la façon dont les Américains avaient exploité certaines facettes du phénomène et peut être même des informations extraites de l'examen d'épaves, pour développer des technologies très avancées. Dans ce lot on trouvait des torpilles MHD hypervéloces ( plus de 2000 km/h sous l'eau ), ainsi qu'un engin hypersonique, capable d'évoluer à 10.000 km/h dans la très haute atmosphère, sur laquelle il rebondissait comme un galet, alternant phases propulsées et phases balistiques (et d'observation).
Un appareil qui était en mesure de remplacer le célèbre SR-71 Blackbird, l'avion espion américain trisonique, qui survola toutes les régions du monde, y compris l'URSS, à 27 km d'altitude, sans jamais pouvoir être intercepté, vu qu'il volait plus vite que les missiles sol-air qu'on envoyait vers lui. Depuis 1990 le Blackbird a éré remisé au musée de l'aéronautique de Seattle. Mis au point dans les années soixante-dix et expérimenté dans l'aire 51, au Nevada, ce fut un engin révolutionnaire, sans équivalent, qui volait à 3200 km/h. Effectuant des vols de longue durée, il se dilatait, comme le Concorde, mais beaucoup plus. Au point qu'il avait été nécessaire de concevoir toutes ses structures en autorisant cette dilatation. Après décollage, le SR-71 " s'échauffait", au sens figuré et au sens propre du terme. Pendant ce vol, ses structures se dilaient, conformémemnt au champ de température, non uniforme, que son système d'ondes de choc créait autour de lui. Il n'aurait pas été possible de préparer cet appareil pour sa mission en le mettant péalablement dans un four.
Ce vol préliminaire, à grande vitesse, ayant été effectué, l'appareil était prêt pour sa mission, mais il fallait au préalable le ravitailler en vol pour regarnir ses réservoirs. Aujour'hui le SR-71 a pris sa retraite. Mais par quoi a-t-il été remplacé ? Lui-même avait remplacé le célèbre U2, discret, mais subsonique, volant à 20.000 mètres d'altitude, que les Soviétiques avaient quand même réussi à descendre au dessus de leur territoire. Son pilote, Gary Pauwels, ayant été fait prisonnier à son arrivée au sol. Contrevenant aux ordres reçus, il ne déclencha pas l'ordre d'auto-descruction de l'appareil avant de sauter. Il n'utilisa pas non plus le poison qui faisait partie de son équipement, pour se suicider. Il dut se dire que s'il déclenchant la minuterie de destruction, la temporisation aurait très bien pu être ... nulle.
En avril 2013, le Dr Steven Greer a relaté dans une vidéo halucinante baptisée "Sirius", 22 ans de recherches sur le phénomène Ovni, E.T. mais aussi de la découverte d'un être de 15 cm de haut ainsi que les magouilles invraisemblables mises en place par les gouvernement américain, CIA, NSA, et autre NASA afin de garder secret depuis plus de 65 ans, la plus extraordinaire des révélations; la réalité et l'existence evidente de civilisations extraterrestres et d'Etres de l'Univers.
"SIRIUS" version complète VOSTFR
DES VISITEURS D'APPARENCE HUMAINE
Ils auraient été observés, selon Scott Corrales, à bord d'Ovnis ou non, dans différents lieux sur Terre. Le chercheur nous fait part des cas qui l'intéressent particulièrement de par sa position de directeur de l'Institut Ufologique Hispanique.
"Certains cas observés dans les années 50 et 60 présentent des descriptions de voyageurs aperçus dans les Ovnis, ces voyageurs.... nous ressemblent en tous points. Les contactés les plus célèbres, quant à eux, nous proposent une foule de descriptions de semi-dieux, de blonds et de voyageurs qui se disent nos grands frères de l'espace venus nous montrer nos erreurs.
Depuis les années 80 et 90, hantées par les reptiliens et les gris, il est maintenant pratiquement impossible de suggérer qu'une toute autre forme d'occupant pourrait sortir d'un Ovni. Cependant, les voyageurs de l'espace d'apparence humaine restent une partie intrigante du tableau général. L'idée de leur existence laisse entendre des possibilités plutôt dérangeantes pour les enquêteurs. Les observations sont nombreuses.
En 1967, l'enquêteur Luis Anglada Font, un ancien pilote durant la seconde guerre mondiale et ancien agent du renseignement a publié une excellente compilation de cas européens et américains "UFOs Throughout the Centuries". Ses années de service dans l'armée ne lui laissaient aucun doute sur l'existence des Ovnis et celle de leurs occupants, mais que penser des humains vus à bord des appareils ou bien impliqués dans les activités des occupants ?
Anglada écrit : "Ils viennent sur notre planète à partir des satellites qui forment une échelle dans l'espace, ils viennent "en mode furtif" à part pour de rares exceptions, faisant le tour de la Terre à des vitesses fulgurantes... J'ai l'impression qu'ils nous connaissent mieux que nous le pensons, et je crois qu'une 'cinquième colonne' vit parmi nous; c'est surtout cela qui m'inquiète."
Qu'est-ce qu'une cinquième colonne exactement? C'est un groupe qui fait ami en secret avec un ennemi, qui aide sa cause de diverses façons qui peuvent aller de l'espionnage au terrorisme. Anglada pense que les occupants des Ovnis ne sont pas belliqueux, leur but final serait la subversion de l'humanité, quoique que les moyens d'y parvenir ne soient pas hostiles à première vue.
La cinquième colonne serait composée d'humains complices des ufonautes, en accord avec leurs buts ultimes. Aujourd'hui nous en savons plus qu'en 1967 sur le phénomène, à l'époque l'idée émise par Anglada pouvait facilement passer pour de la paranoïa due à la guerre froide. Même le Dr. Olavo Fontes, le consultant brésilien et l'enquêteur clé de l'affaire Villas-Boas avait cru à un objectif militaire lors de l'attaque célèbre de la garnison Itaipu en 1965 dés le début d'une invasion aérienne au nord du Brésil.
Mais en 1989, l'ufologue enquêteur espagnol J.J. Benitez travaille sur un cas qui a lieu dans le sud de l'Espagne. Deux silhouettes brillantes se matérialisent et se transforment en deux êtres humains devant le regard ébahi d'adolescents terrifiés. Les "humains" sont homme et femme, vêtus de vêtements appropriés pour le lieu et le moment. Ils marchent tranquillement le long de la plage et disparaissent dans la foule pendant qu'un Ovni se trouve au dessus dans le ciel. Les témoins restent sur place pour les revoir des heures plus tard, et ils filment leur démarche inhabituelle. La trace des pas laissés sur le sable par "l'homme" et la "femme" mène directement dans l'eau.
C'est donc cet incident qui a causé l'enquêteur à titrer son livre: "La Cinquième Colonne". La preuve de son argumentation est basée sur les disparitions mystérieuses de personnes et sur les "expériences de reproduction" comme celle du cas Villas-Boas.
Les humains sont abductés afin de créer une "force d'invasion" qui serait humaine tout en étant accoutumée à la planète aliène. L'auteur suggère qu'il doit se trouver des jeunes volontaires, assoiffés d'aventures, prêts à devenir complices des visiteurs aliènes.
Quoique ces histoires semblent bien farfelues, des humains y sont mêlés et certains d'entre eux ont témoigné. En septembre 1972, un automobiliste se fait interpeller par trois aliens à la peau jaune, vêtus d'uniformes près du corps gris. Un Ovni en forme d'oeuf se tient non loin de la scène.
L'un des aliens approche l'automobiliste et lui parle dans un espagnol parfait (la scène se déroule en République Dominicaine). Il lui explique qu'il était humain tout comme lui, puis, qu'il fut sauvé de la noyade par des aliens 10 ans plus tôt. Il se nommait Freddy Muller et s'était très bien adapté à la vie sur le monde des aliens.
Dans son livre Dimensions Jacques Vallée mentionne le cas qui se produisit dans la ville de Temple, Oklahoma en 1966 : un instructeur de vol aperçoit une machine brillante garée sur le bas-coté d'une autoroute. Il sort de sa voiture afin de prendre une photo et remarque "un homme en treillis militaire… un G.I en quelque sorte, mécanicien" qui effectue des réparations sur le fuselage sans ailes de son appareil, qui ne présente aucun système visible de propulsion. Puis l'appareil décolle verticalement à une vitesse fulgurante.
Le chercheur espagnol J.J. Benitez mentionne une autre rencontre au bord de la route à la sortie de Huesca, en Espagne, en novembre 1974. Un couple tient une conversation des plus étranges avec un ufonaute au visage pointu, à l’apparence humaine qui leur pose cette question surprenante : Pourraient-ils lui prêter une clé à molette ? Un Ovni en forme de demi sphère est suspendu dans les environs, il émet des lumières rouges, jaunes et blanches. Les automobilistes se demandent à quoi peut bien servir une clé à molette à bord d’un tel engin. L'ufonaute se présente comme étant "l'ancien" Dr.Flor, de Barcelone.
En 1980, le propriétaire d’un avion privé Jos Antonio Pagan disparait pendant son vol de Saint Domingue à Porto-Rico. Il envoie un SOS : Son avion est tiré hors de sa route par une lumière étrange".
Frederick Valentich
Un Boeing de la compagnie Iberia a entendu l’appel et a transmis le message aux headquarters FAA de San Juan jusqu’à ce que Pagan disparaisse finalement. Des mois plus tard, sa mère dit avoir eu une vision de son fils un après-midi : Il portait un uniforme métallique vert et des bottes de métal noir; il lui dit qu'il avait rejoint les "extraterrestres" dans leur mission, il était en sécurité et très heureux de sa nouvelle vie.
Ce cas un peu plus inquiétant a intrigué l’enquêteur Manuel Carballa, il est lié à la disparition du jeune pilote australien Frederick Valentich. Selon les témoignages de plusieurs personnes, un homme jeune dit se nommer Frederick Valentich comme le pilote disparu mystérieusement en 1978. C’est à Plaza del Charco, un port sur l'île de Ténérife en 1990, que cet homme dit qu'il est bien vivant et en bonne santé. Il montre un passeport australien aux témoins qui ne le croient pas.
Valentich poursuit en disant qu’il appartient maintenant à un groupe d’humains "recrutés" par les extraterrestres. Il ne présente aucun signe de vieillissement et ressemble au personnage de la photo (agé de 20 ans) qui circulait lors de "sa" disparition.
Un groupe de neuf observateurs passionnés d’Ovnis ont grimpé sur les hauteurs d'El Yunque Rainforests dans l’espoir d'observer le phénomène.
L'incident particulier qu'ils vont vivre ce soir là s'est déroulé au sol. Heriberto Ramos, le leader du groupe, a récemment précisé lors d'une interview qu'au moment de leur séjour au sommet de la jungle, il n'existait pas dans le commerce de lampe torche qui fonctionne une nuit entière. Ils avaient donc prévu de s'éclairer à l’aide d'un tube de pvc muni d’un phare et d'une batterie de voiture.
Alors que le groupe marche allégrement sur la piste qui mène au sommet en espérant observer quelque chose cette nuit là, ils sont plutôt surpris de voir 3 personnes descendant de la montagne qui viennent dans leur direction. Bizarrement, les 3 humains, 2 hommes et une femme, se ressemblent et sont vêtus d'une sorte d’uniforme assez vague. Ils n'ont rien qui puisse paraître "alien", ils parlent espagnol et disent être d'une communauté locale et c'est alors que l'un des membres du groupe remarque un détail étonnant : le trio en uniforme utilise une source de lumière improvisée qui ressemble à la leur dans tous ses aspects !
Les photographies du trio révèleront des images de halos de brume lors du développement. Leurs silhouettes se démarquaient clairement sur film infrarouge. D'après Ramos, ce détail est probablement la raison du vol des photos qui eut lieu dans son bureau peu après.
Il existe beaucoup d’autres cas dans lesquels des humains qui ne sont pas des humanoïdes, ou bien des aliens qui ressemblent à des humains ont été vus opérant avec des genres clairement non-humains qui vont des "Gris" aux Grands Blonds Nordiques.
Travail d'artiste : Les Neuf
Bien que son argument soit présenté en termes militaires, pourrait-il y avoir ne serait-ce qu’une infime parcelle de vérité dans les craintes d’Anglada de l’existence d’une "cinquième colonne" ?
La réponse qui se veut prudente est : Oui. Dans son ouvrage 'Le Livre des Damnés' Charles Fort a suggéré l'idée d'un "groupe ésotérique", "The Nine", qui serait en contact avec des forces non humaines depuis la nuit des temps.
Louis Pauwels et Jacques Bergier ont suggéré l'existence des "Neuf Inconnus" dans leur 'Matin des Magiciens' qui seraient des êtres de notre monde en contact avec des pouvoirs supérieurs. Est-ce que certains des "membres d'équipe" humains seraient les descendants de ceux qui ont été abductés de force dans le passé ?
L'histoire humaine comprend toute une tradition de gens qui ont disparu en étant enlevés "d'en haut", Elias, Romulus, et beaucoup d’autres moins célèbres ajoutés aux milliers de disparus chaque année sans laisser de traces. Si ces humains nés d'aliens ont le pouvoir de revenir sur la Terre, qu’est-ce qui les empêche de rester ? Craignent-ils les représailles de leurs maitres aliens, ou bien certaines de leurs facultés ? Des pouvoirs qu'ils ont développé ou acquis sur d'autres mondes ? Peut-être ont-ils subi un lavage de cerveau et ne considèrent-ils plus l'humanité comme leur parente.
Anglada nous offre une possibilité plus menaçante : ces humains liés aux Ovnis, ainsi que les descendants des abductés contemporains (issus des soi-disant expériences forcées de reproduction) pourraient très bien être ceux qui nous remplaceront sur cette planète après que notre race sera anéantie par accident ou par dessein.
Dans ce scénario, ces hybrides humains seraient retournés sur la Terre pour nous diriger. Beaucoup plus aliens qu'humains dans leurs coutumes, choix et entrainement.
Le Prophète Elias
Les expériences génétiques qui ont lieu sur les humains à leur insu dans le monde entier valident la possibilité mentionnée plus haut. Mais quel est le profit octroyé aux collaborateurs 100% humains ? Le pouvoir, l’influence, ou un statut dans le véritable "nouvel ordre mondial" ? A tout un chacun de deviner." Scott Corrales - Source
« Certains d'entre vous ont pris connaissance d'une réalité qui est tellement importante qu'elle est parfois refusée. Cette réalité concerne la réactivation des pyramides.
Nous ouvrons une petite parenthèse, parce qu'il est important que nous puissions vous parler des pyramides qui sont des condensateurs d'énergies.
Il y a eu ce que nous pourrions appeler la « civilisation des pyramides ». Il y a des pyramides partout dans le monde, et elles existent également sur toutes les autres planètes comme sur Mars, sur Vénus et sur la Lune. Il y en a partout !
Votre datation des pyramides d'Egypte est totalement erronée, elles sont beaucoup, beaucoup, beaucoup plus vieilles que ce que vous pouvez concevoir. Certaines pyramides existent aussi au plus profond des océans. Elles étaient à la surface et des cataclysmes dont vous ne vous rendez pas compte ont fait qu'elles se sont retrouvées au plus profond des océans.
Les civilisations des pyramides ont mis en place des procédés qui se réactiveraient au moment venu, celui de la grande transition. Ce moment-là verra un changement très important de dimension, certes, mais aussi un bouleversement total quant à la conscience de la planète Terre, quant à l'électromagnétisme de la Terre et au champ électromagnétique qui entoure tout ce qui vit.
Il y a déjà eu des grands changements depuis que la vie s'est implantée sur ce monde. Il y a eu des civilisations extraordinaires qui se sont éteintes et d'autres qui sont nées.
Les civilisateurs des pyramides, eux, ont mis en place des procédés qui ne sont pas accessibles aux humains et qui se réactivent avec la conscience de la planète Terre. Comment cela peut-il être en interaction avec la conscience de la Terre ?
Les grands civilisateurs, dont ceux des pyramides, pouvaient entrer en relation avec les consciences planétaires. Ils savaient exactement ce qui se passerait en cette fin de cycle ; ils savaient également qu'il y aurait ce que notre canal avait déjà annoncé, c'est-à-dire cet immense nuage de photons qui va englober votre système solaire et qui englobe déjà d'autres systèmes solaires.
Le photon est la Lumière ! Les photons vont donc éclairer la conscience et permettre à certains voiles d'être dissous par cette Lumière.
Beaucoup de pyramides n'ont pas été découvertes et n'auront pas le temps de l'être. Elles aussi seront réactivées, même si elles sont sous des mètres et des mètres de terre, car leur énergie traverse la matière.
L'énergie émanant des pyramides sera propulsée vers ce nuage de photons. Lors de ce contact entre l'énergie émanant des pyramides et les photons, il y aura une sorte de transmutation, c'est-à-dire que tout ce qui pourrait être totalement destructeur pour la vie sera annihilé par des rayons qui iront percuter tout ce qui ne sera pas positif pour la vie sur les mondes. Dans son voyage, ce nuage gris a « attrapé » énormément de particules qui ne sont pas propices à la vie.
Donc tout ce qui sera propice pour la transition, pour la grande transformation, sera donné à ce monde, à ce système solaire, pour que la vie renaisse réellement à elle-même d'une façon extraordinaire.
Ces photons, en contact avec l'atmosphère et la vie sur ce monde, vont transformer la luminosité de tout ce qui vous entoure ; vous aurez l'impression que l'air est beaucoup plus clair, que la lumière est beaucoup plus vive, que tout est comme sublimé.
Vous ne pourrez percevoir cela que lorsque vous serez dans une conscience modifiée. Pour l'instant, en troisième dimension, vous ne pourrez pas percevoir cette nouvelle lumière car il faut que les voiles qui obscurcissent votre conscience soient dissous par les énergies photoniques.
Vous allez aussi découvrir, non seulement dans votre ciel, mais aussi dans la vie elle-même, beaucoup de choses qui vous étonneront.
En ce moment, il y a une distorsion du champ magnétique à certains endroits de votre planète, distorsion qui vient du fait que la quatrième dimension prend de plus en plus place sur ce monde, au niveau de la vibration. Petit à petit, elle annihile la fréquence vibratoire de la troisième dimension, ce qui crée des distorsions et aussi les sons étranges que vous entendez ».
Ils me montrent quelque chose d'incroyable ! C'est comme si l'énergie électro magnétique se tordait pour se redresser et être investie par une autre énergie. C'est comme si dans cette distorsion de l'électro magnétisme la quatrième dimension absorbait la troisième dimension.
C'est tellement gigantesque ! Je n'ai pas de mots pour vous décrire ce que je vois. C'est d'ailleurs au-delà des mots ».
Et un petit coucou, au passage, à Monique Mathieu.
Les pyramides, reconnaissant le, sont créations qui ont déjà fait couler beaucoup d'encre et cela est tout à fait logique car toujours impossible à reconstruire de nos jours et les dernières fouilles à leurs sujets n'ont pas arrangé les choses.
En effet, les dernières recherches entreprisent sur le pourquoi et le comment de l'existence de ces colossaux ouvrages apportent de l'eau au moulin des plus en plus nombreux partisans de l'intervention "extérieure" à la main de l'Homme.Il est évident que les explications apportées tout au long de cette vidéo ne peuvent être considérées comme étant une simple série de coïncidences et je pense que vous en conviendrez, vous aussi.
On pourra aussi remarquer que ces pyramides ne sont pas la panacée unique de l'Egypte car la Chine, parmi tant d'autres pays tels l'Australie, la Bosnie, le Mexique... et dernièrement l'Antarctique, en compte des dizaines et des dizaines sinon des centaines.
Alors, que penser de toutes ces fantastiques constructions qui depuis toujours, selon nos grands penseurs, ont été réalisées avec des moyens des plus primitifs ?
Etaient-ils, à l'époque, plus en avance que ce que nous avons toujours pensé; avaient-ils reçus des connaissances d'Etres "Supérieurs" ou encore, ont-elles été construites, tout simplement, par des Entités venues d'autres mondes ? A vous de voir, bien sûr.
Afin d'apporter un petit plus, la vidéo ci-dessous est un diaporama de 45 minutes, commenté par Klaus Dona, chercheur autrichien, en personne. C'est riche de données, détaillé, intense, captivant et il se peut qu'il y ait là une concentration plus importante d'informations surprenantes sur l'histoire récente de la race humaine que dans aucune des vidéos que vous ayez jamais vues et qui vous amènera à vous poser bien des questions.
Un Crop Circle extrêmement élaboré a été découvert dans un champ du Wiltshire, en Grande-Bretagne. Aussi grand qu’un terrain de football, le Crop fait directement référence au calendrier Maya et à ses symboles. Un calendrier bien connu pour se terminer… en 2012 ; date que certains présument être une fin du monde annoncée… et le début d’un nouvel ordre mondial. Steve Alexander, un expert qui a photographié des centaines de Crops de par le monde, n’hésite pas à commenter cette incroyable formation : « C’est le Crop Circle le plus complexe que j’ai jamais vu ! Je sais qu’un tas de gens pensent que tous ces Crops sont faits artificiellement par la main de l’homme, mais pour celui-ci c’est très peu probable. Cela prendrait des semaines, voir des mois (!), pour réaliser un dessin aussi parfait, complexe et aussi gigantesque ; or ce Crop est apparu en une nuit ! » En tout cas, si une entité intelligente essaie de communiquer avec nous via ce Crop Circle, ce n’est pas vraiment pour nous annoncer une bonne nouvelle…
Le mystère de Chilbolton (UK). Situation : vous prenez une carte du Sud de l’Angleterre. Dans le nord de Southampton, vous trouvez Winchester, ancienne cité qui remonte à deux millénaires et qui fut autrefois la capitale d’origine de l’Angleterre. A 7 ou 8 miles au nord ouest, vous trouvez un village du nom de Chilbolton. C’est aussi à une trentaine de kilomètres à l’est de Stonehenge. Cet endroit est connu dans le monde entier pour deux raisons :
- C’est là que se trouve un des radars météorologiques les plus perfectionnés de la Terre (micro-ondes pacifiques). Un centre de recherches lui est associé.
- C’est dans cette zone et dans le sud du Wiltshire que l’on a répertorié le plus de Crop Circles depuis leur apparition sérieuse en 1978. Cheesefoot Head est à deux miles à l’est de Winchester où les formations dans les blés ont commencé dans les années 1970.
Le 13 août 2000, un Crop Circle est trouvé à quelques centaines de mètres de l’antenne radar. La figure est assez compliquée. Il représente des formations à diffusion circulaire, comme issues les unes des autres. Les dimensions sont impressionnantes, estimées sur la photo: longueur env 56 voies de tracteur et largeur 36 voies, soit 112 m x 72m = 8060 m2 pour une largeur de voie tracteur de 2m)
On découvrira l’année suivante que ce crop circle est repris dans un nouveau crop circle. Il pourrait être la représentation visuelle schématique d’une antenne parabolique.
Le 20 Août 2001, dans le même champ, on trouve une formation de type Crop Circle, mais non circulaire, double, comprenant un visage d’alien et un rectangle avec de très nombreuses alternances de blé couché et blé debout, représentant des carrés de blés debout. L’étude du rectangle (vu en altitude) montre qu’il s’agit d’une version modifiée du message d’Arécibo 1974.
Message d’Arécibo 1974.
De quoi s’agit-il ? La Terre a envoyé le 16 Novembre 1974, et rediffusé en mai 1999, un message radioélectrique en direction de la constellation M13, du Grand Amas d’Hercule à 22.000 Al de la Terre, et contenant selon nos estimations 300.000 étoiles. Ce message est construit pour être auto-déchiffré par des intelligences ayant au moins notre niveau de culture. Pour des détails, voir les sites en fin d’article. Ce message, constitué d’impulsions binaires peut être visualisé et donne une grille visuelle des paramètres de la vie sur Terre.
Il se lit de gauche à droite. Il comporte en commençant par le haut :
1) Une table de lecture binaire des chiffres de 0 à 9, destinée à la lecture d’autres informations.
2) Les numéros atomiques des principaux éléments constitutifs de la vie sur Terre (H=1, C=6, N=7, O=8, P=15)
3) Une description des sucres et bases constituantes des molécules vivantes.
4) Un schéma de la double hélice de l’ADN et le nombre de nucléotides de base.
5) Une forme humaine donnant la silhouette de l’être vivant, encadrée de part et d’autre de l’indication de la taille moyenne (*) et de la population de la planète (en 1974, date du message). Je ne sais pas si cette donnée a été actualisée pour l’émission de 1999.
6) Un schéma du système planétaire représentant notre étoile, le soleil et les planètes qui le composent, en mettant à un niveau différent (supérieur) la Terre, puisque c’est l’émetteur du signal et aussi la seule planète habitée. La taille relative des planètes est symboliquement indiquée.
7) Enfin, une représentation simplifiée de l’antenne parabolique de l’émetteur associée à l’indication de son diamètre (*).
(*) Les longueurs sont exprimées en multiples de la longueur d’onde du signal émis, lequel est mesurable par le récepteur.
Comparaison entre le crop et le message Arecibo :
L’étude du message lisible dans le blé, selon le code blé debout = bit ’1? et blé couché = bit ’0?, par comparaison avec l’émission d’Arecibo fait apparaître des différences :
1) l’image est inversée « droite-gauche ». Paul Vigay (http://www.%20cropcircleresearch.com/) l’explique en arguant du fait que son livre a été imprimé avec des images inversées malgré son contrôle aléatoire de deux exemplaires. Cela me parait un peu « nombriliste ». Pour moi, l’inversion gauche-droite est la seule manière disponible à l’émetteur de faire percevoir qu’il ne s’agit pas d’une copie, mais d’une réponse (le retour est une symétrie).
2) la table des chiffres binaires est reproduite à l’identique.
3) Les atomes constituants du vivant ne sont pas modifiés, mais complétés par l’élément de numéro 14, correctement inséré à sa place: c’est le silicium. Impossible que cela soit dû au hasard.
4) Des modifications sont lisibles dans les sucres et bases. Une étude longue et minutieuse permettrait peut-être d’en comprendre le détail.
5) Le dessin d’un côté de l’hélice de l’ADN est modifié avec un pas spiral presque deux fois plus court. Le nombre de nucléotides est modifié. Même remarque que ci-dessus.
6) La silhouette humaine est remplacée par une silhouette d’alien avec des yeux clairement identifiés, des bras et des jambes. La taille est modifiée et correspond à 100,8 cm. Conforme aux témoignages. L’indication de la population est modifiée et on peut lire un peu plus de 17 milliards.
7) Le système planétaire est modifié. Ma lecture diffère ici à nouveau de celle de Paul Vigay. On observe que les planètes géantes (type Jupiter et Saturne) ont disparu, et que les planètes 3 et 4 sont sur le plan supérieur (c’est à dire qu’elles sont habitées, par analogie avec la Terre). Pour la cinquième planète, on constate qu’au lieu d’être symbolisée par un carré « positif », ce qui ne la distinguerait pas des 2 précédentes habitées, elle est marquée par un carré « négatif » (marqué par les 4 carrés des coins). Cette disposition permet de fournir 2 informations avec un système qui n’avait été conçu que pour une seule (une seule planète habitée et donc émettrice). Je lis en effet que les 3ème, 4ème et 5ème planètes sont habitées, et que ce sont les habitants de la cinquième planète qui répondent ici.
La représentation visuelle schématique de l’antenne parabolique est remplacée par la représentation simplifiée du crop circle du même champ l’année précédente (centrée). On remarque que le centre de l’antenne symbolique est occupé par une formation strictement identique à la représentation de la planète dans le système planétaire . C’est pour moi un signe fort de confirmation de ma lecture.
9) Le nombre indiquant la taille de l’antenne (diamètre dans l’émission d’Arecibo) est remplacé par un nombre beaucoup plus grand. Je l’interprète logiquement comme la surface au sol du Crop Circle de l’an 2000, qui figure l’antenne. La vérification est dans la fourchette d’incertitude des estimations de dimensions: 6455 m2. Cela fait varier les traces de tracteur entre 1,80 et 2 m, ou la qualité des mes estimations sur photo. C’est parfaitement cohérent.En résumé, le Crop 2001, dit Arecibo, comporte des éléments objectifs de lien avec celui de l’an précédent dans le même champ : le Crop de l’an 2000 est assimilé à une antenne, c’est-à-dire à un outil de communication. Celle-ci est confirmée par le contenu des modifications du tableau d’Arecibo. C’est une signature, construite alors depuis un an, donnant les paramètres équivalents à ceux que nous avons envoyés. On observera que cette formation est difficile à réaliser (pour une supercherie) : elle comporte 1679 bits (carrés de blé debout ou couché), organisés en 23 colonnes de 73 lignes. Sans compter le travail du rectangle de la tête de l’alien…
Le 16 Août 2002, sur un champ à environ 5 miles (env. 8 km) de Chibolton une nouvelle formation représentant une silhouette d’alien « gris », dans un rectangle, accompagnée d’un disque assimilable à un CD-Rom. La formation fait 110m sur 70 environ.
Décryptage du disque :
Des spécialistes se penchent sur le décryptage du disque. Le contenu du disque est lisible, toujours selon la logique du blé debout = bit ’1? et blé couché = bit ’0?, en partant du centre en spirale vers l’extérieur. Le disque contient des segments de phrases en anglais (codage ASCII) et un mot incompréhensible dont plusieurs versions légèrement différentes, selon la lecture dans le blé, circulent.
L’ensemble du texte du disque :
Beware the bearers of FALSE gifts & their BROKEN PROMISES
= Se méfier des porteurs de FAUX cadeaux et de leurs PROMESSES NON TENUES.
Much PAIN but still time = Beaucoup de DOULEUR mais encore temps.
EELRIJVE. ou BELIEVE
There is GOOD out there = Il y a du BON là-bas.
We OPpose DECEPTION = Nous nous OPposons à la TROMPERIE
COnduit CLOSING (BELL SOUND) = TUyau FERMETURE (Son de Cloche)
« Méfiez vous des porteurs de faux cadeaux et de leurs promesses non tenues, beaucoup de douleur mais il est encore temps, croyez. Il y a du bon à l’extérieur. Nous nous opposons à la tromperie. Fermeture du canal (son de cloche) »
Le mot EELRIJVE semble compréhensible en ummite phonétisé espagnol (voir le livre de J. Pollion, « Ummo, de vrais extraterrestres », Editions Aldane, sur l’éditorial N°32 de ce site), et la traduction donne :
« [Ceci est un] enregistrement correspondant [à une] imitation [par d'] autres formes d’organisation des contributions des sensations » ou encore plus simplement : « [Ceci est un] enregistrement correspondant [à une] imitation [par d'] autres formes intelligentes ».
On peut aussi penser qu’il s’agit du mot BELIEVE qui prendrait ici tout son sens…
De multiples analyses scientifiques ont été réalisées et ont mis en évidence des modifications biologiques des céréales par rapport à des échantillons témoins prélevés à l'extérieur de la formation :
allongements des nœuds sur les tiges,
teneur en eau diminuée dans ces nœuds,
perforations ou éclatement de certains nœuds,
pouvoir de germination amélioré de façon significative (les graines semées donnent des plantes plus fortes et produisent elles-mêmes plus de graines), quand le glyphe a été formé dans une culture arrivée à maturation,
sur d'autres échantillons, pouvoir de germination diminué au contraire (mais toujours de façon significative par rapport à des échantillons témoins), quand le glyphe a été formé dans une culture jeune.
D'autres analyses, menées tout aussi rigoureusement par des chercheurs scientifiques, ont mis en évidence des modifications étonnantes des propriétés physico-chimiques des sols à l'intérieur des formations :
développement surprenant de la structure cristalline de certains composants de l'argile prélevée dans le sol de la formation, par rapport à des échantillons témoins pris à l'extérieur,
dépôts étranges d'une poudre blanche au centre de certaines formations circulaires des Pays-Bas ; cette poudre a été analysée par un laboratoire universitaire d'Amsterdam, il s'agit d'un hydrocarbonate de magnésium,
concentration anormale de poussières météoritiques (oxydes de fer). Ces particules existent à l'état naturel dans l'atmosphère, en très faible concentration. Or on a trouvé à l'intérieur de certains agroglyphes des teneurs jusqu'à plusieurs centaines de fois plus élevées qu'à l'extérieur de la formation, ce qui porte à penser que ces particules ont été attirées et concentrées par l'application d'un champ magnétique intense lors de la création du glyphe.
Les premières véritables recherches scientifiques ont été menées par une équipe de trois chercheurs à l'initiative de W. Levengood (équipe BLT) dès 1989. Ces chercheurs américains ont collecté des échantillons en provenance d'agroglyphes de différents pays afin de les étudier, et ont publié leurs résultats dans des journaux scientifiques spécialisées (3-4-5). Les résultats sur les anomalies de croissance ont été confirmées par d'autres chercheurs (6).
Ces analyses scientifiques, même si elles n'ont pas permis d'élucider la nature du phénomène, ont conduit à des conclusions très significatives qui mettent en relief les caractéristiques « étranges » du phénomène. Il va de soi que ces modifications des propriétés physiques et biologiques traduisent de façon indiscutable que les techniques mises en œuvre pour réaliser les agroglyphes n'ont rien à voir avec les techniques tout à fait rudimentaires utilisées habituellement par les hommes-faussaires. En effet, la seule méthode que les hommes auteurs des supercheries sachent utiliser consiste à écraser les tiges au sol devant eux avec une simple planche (tenue à l'aide de cordes), ou d'un rouleau qu'ils poussent devant eux ou qu'ils tirent ; cette technique rudimentaire ne peut certainement pas entraîner de modifications physiques ni biologiques des plantes.
Mais ces analyses scientifiques sont évidemment lourdes à mettre en œuvre et ne peuvent pas être utilisées pour contrôler la totalité des agroglyphes.
Un certain nombre d'observations visuelles que l'on peut faire au sol permettent cependant à n'importe quel observateur de distinguer à coup sûr les vrais agroglyphes des supercheries éventuelles.
Il faut savoir tout d'abord que les tiges de blé (ou d'orge) sont ainsi constituées qu'elles sont formées de plusieurs segments reliés par trois nœuds, à des hauteurs différentes, le premier étant très près du sol. Ces nœuds donnent de la rigidité aux tiges, et leur permettent de croître verticalement.
Dans la plupart des agroglyphes, les tiges de blé (ou d'autres céréales) sont simplement pliées très près du sol pour être couchées horizontalement dans une direction donnée (photos 1 et 2). Les pliures sont faites à 2 ou 3 centimètres au-dessus du niveau du sol (pas forcément au niveau du premier nœud (dans le cas du blé) comme cela a souvent été écrit par erreur). Les tiges ne sont donc pas coupées ni écrasées et ces pliures n'empêchent pas que les épis vont poursuivre leur croissance et pourront être moissonnés normalement en temps voulu (il suffira que la hauteur de la moissonneuse soit adaptée, l'expérience montre bien qu'une très faible proportion de graines est perdue).
Une petite proportion d'agroglyphes (de l'ordre de 1/10 en 2008) met en évidence une technique différente et mystérieuse, dont l'homme est assurément incapable. Les photographies ci-contre (photos 3, 4, 5 et 6) prises à l'intérieur d'une formation montrent que, après que les tiges de blé aient été couchées toutes parallèlement au sol (ce qui implique l'application d'une certaine force), elles ont toutes été coudées exactement au niveau du 3ème nœud de la tige (ce qui implique l'application d'une autre technique et d'une autre force), de façon que les parties supérieures des tiges soient plus ou moins redressées vers le ciel, l'angle imposé étant approximativement constant sur toutes les tiges d'une même formation (compris entre 45° et 90°). L'examen visuel montre que le coude a été créé en allongeant la face inférieure des nœuds (photos), sans que cela ait une incidence sur la croissance des plantes. Cette courbure très marquée est observée dès le premier jour après la réalisation de l'agroglyphe, et ne peut pas être expliquée par l'effet naturel qui fait que la tige se relève progressivement au cours du temps.
Tous les champs de céréales sont marqués par ces lignes doubles et parallèles laissées par les roues du tracteur quand il les traverse au printemps au moment du semis. En général, le blé (par exemple) n'a pas été semé dans ces lignes et la terre reste à nu (ce qui permet d'ailleurs aux visiteurs de traverser les champs sans abîmer les cultures en marchant dans ces traces). Mais les grains de blé qui ont été semés en bordure de ces traces ont souvent été écrasés par les roues du tracteur. En conséquence la germination de ces grains va accuser un certain retard par rapport aux autres. On peut en effet observer au début de l'été des tiges de blé plus courtes et de couleur verte, quand les blés sont hauts et dorés par ailleurs.
Mais on observe souvent alors que, à l'intérieur d'un agroglyphe, ces épis en retard de croissance n'ont pas été couchés au sol contrairement à ceux qui les entourent (photos 7, 8, 9, 10 et 11) et restent dressés vers le ciel. On obtient ainsi des rangées d'épis verticaux en bordure des traces de tracteur, à l'intérieur d'une zone où tous les épis sont couchés au sol, ce qui peut apparaître comme une imperfection du dessin.
Ce phénomène qui paraît étrange à première vue, peut s'expliquer facilement en fait.
Les cultivateurs ont en effet remarqué que ce phénomène apparaît aussi quand, dans un champ, les blés sont couchés par une forte rafale de vent comme cela arrive souvent. Les blés sont alors couchés au sol par le vent, mais sans qu'aucun motif géométrique pur ne soit dessiné. Or même dans ce cas où la cause est naturelle, on a pu observer que les épis en retard de croissance peuvent rester dressés et intacts, ce qui signifie tout simplement qu'ils résistent mieux à la force du vent (ils sont d'ailleurs plus souples en général, puisque plus jeunes et encore verts).
On peut comprendre alors qu'à l'intérieur des agroglyphes, de la même façon, ces épis en retard de croissance ont pu résister à la force appliquée pour plier les tiges, parce que cette force a été appliquée avec une intensité minimum de façon à agir sur les blés en croissance normale, mais non pas sur ceux en retard de croissance, qui sont plus souples et résistants.
On comprend aussi que parfois ces blés en bordure des traces de tracteur peuvent être cependant couchés au sol non pas par la force extérieure qui a été appliquée, mais par les blés adjacents qui ont été couchés et qui ont appuyé sur eux (photo 12). Le résultat dépend donc de la direction dans laquelle les tiges ont été couchées.
Cette observation est aussi un signe de reconnaissance clair et indiscutable d'un agroglyphe authentique.Il est évident en effet que l'utilisation d'une planche en bois ou un rouleau pour plier les tiges aurait pour effet de les écraser toutes sans distinction.
Les tiges intactes dispersées dans les zones de tiges couchées
A l'intérieur de certains agroglyphes, et indépendamment de l'observation précédente des rangées intactes le long des traces de tracteur, on peut avoir l'impression d'un « travail mal fait », en ce sens que les tiges de blé (ou d'orge) ne sont pas toutes couchées au sol : une certaine proportion est restée intacte et à peu près verticale. En fait, il faut se garder de croire que cet aspect inachevé ou mal fait serait associé à une réalisation humaine. L'utilisation d'un outil mécanique (planche ou rouleau) ne permettrait pas en effet de laisser debout une certaine proportion d'épis. Au contraire cette observation est la preuve que ce n'est pas une force mécanique qui a été appliquée (autrement dit ce n'est pas un moyen humain), et traduit simplement que l'intensité de cette force était insuffisante pour plier tous les épis, si bien qu'une petite proportion parmi eux, les plus résistants, sont restés debout (photos 13 et 14).
Insectes morts et collés sur les tiges
Il est possible parfois de découvrir à l'intérieur des agroglyphes des mouches (ou d'autres insectes) mortes et collées sur les tiges, le corps desséché et les ailes ouvertes. On peut trouver aussi des hérissons morts, le corps complètement desséché. Cette observation tend à montrer que ces insectes ou ces animaux ont été surpris par une très forte élévation de température, qui aurait été de courte durée puisque les céréales n'ont pas été endommagées.
Effectivement, on pense en général que les tiges ont été pliées à leur base après que celles-ci aient été ramollies pour ne pas être cassées, et que ce ramollissement a été provoqué par une élévation de température très ciblée et de très courte durée (des tests réalisés en laboratoire par l'équipe BLT dirigée par W. Levengood semblent effectivement confirmer cette interprétation). On peut comprendre alors que, pour éviter tout endommagement des cultures, cette élévation de température soit réglée au minimum, mais que en conséquence une petite proportion des tiges, plus résistante, soit moins ramollie et donc moins pliée. Mais cette observation des mouches et hérissons desséchés n'est pas compatible avec une action mécanique humaine.C'est donc encore une preuve de la nature authentique de l'agroglyphe.
Les agroglyphes émettent une énergie subtile. On peut la ressentir directement dans son corps physique ; certaines personnes y sont cependant plus sensibles que d'autres. Il suffit pour cela de prendre quelques instants pour se recentrer en soi, et de prendre conscience des sensations subtiles qui apparaissent au niveau des paumes des mains par exemple, des pieds ou de la tête. De façon logique, cette énergie est d'autant plus intense que la formation est récente, et s'estompe avec le temps ; elle est aussi d'autant plus forte que l'on se situe près du centre du motif, et s'estompe quand on se déplace vers l'extérieur.
Cette énergie peut être mesurée à l'aide d'un pendule ; il est aussi très facile de la mettre en évidence en utilisant des baguettes parallèles de radiesthésiste. Ces baguettes amplifient de façon spectaculaire les variations d'énergie quand on pénètre ou que l'on quitte une formation.L'intensité de cette énergie subtile est encore une signature d'une formation authentique; on peut observer des variations d'énergies analogues, c'est-à-dire aussi fortes, dans les sites mégalithiques (photos 15 et 16).
Même si la plupart des agroglyphes mesurent plusieurs dizaines de mètres (ou même plusieurs centaines), et recouvrent donc plusieurs lignes de tracteur dans lesquelles on peut circuler sans laisser de marques de son passage, il arrive souvent qu'ils comprennent des petits motifs qui sont intégralement situés entre les traces de tracteur. Si l'homme avait été l'auteur de ce travail, il aurait alors forcément laissé des marques en écrasant les blés pour accéder et réaliser ces motifs. Or les premières visites dans un site authentique ne montrent pas de telles marques (photos17 et 18).
La variété des motifs représentés
Depuis que les motifs représentés ne sont plus simplement circulaires (fin des années 1980), chacun a pu observer une très grande variété de ces motifs puisque, en réalité... il n'y en a jamais eu deux semblables ! alors que leur complexité continue de croître d'année en année, et que le nombre des agroglyphes observés est de plusieurs milliers.
Cette complexité est en fait une réponse aux observateurs incrédules : il est évident que ces « sculptures dans les champs » ne peuvent pas être réalisées par l'homme sans qu'il puisse être surpris dans son action.
En effet, certains dessins dans les champs sont parfois réalisés à des fins publicitaires, et peuvent être relativement élaborés. Mais leur réalisation demande la participation d'une équipe de plusieurs personnes qui s'y consacre à découvert pendant plusieurs journées. Et la technique employée pour coucher les épis est toujours et forcément simple, puisque par exemple l'homme est incapable de couder les tiges ou de rendre tous les effets que l'on peut observer par ailleurs. Or, ...
... les agroglyphes sont réalisés en quelques secondes, sans présence visible !
Même si il y a quelques années, l'hypothèse d'une cause naturelle avait été avancée pour tenter d'expliquer la formation des agroglyphes, il est devenu évident maintenant qu'une véritable intelligence est présente derrière ces formations. Pourquoi ?
La variété des méthodes de couchage des tiges
Nous l'avons vu plus haut, si les méthodes variées et élaborées ne sont pas compatibles avec une cause humaine, elles sont encore moins compatibles avec une cause naturelle. Elles sont vraiment la marque d'intelligences actives, d'êtres intelligents. Il est important de remarquer aussi l'idée globale d'évolution qui apparaît dans les méthodes mises en œuvre, en Angleterre en particulier. Les agroglyphes sont vraiment de plus en plus élaborés d'année en année, même si certaines formations sont encore géométriquement simples (il arrive que l'on trouve encore un cercle isolé ou un ensemble de cercles).
Les auteurs prennent soin d'éviter les observateurs et les caméras
Tous les étés depuis de nombreuses années, des équipes de chercheurs passionnés par l'étude du phénomène des agroglyphes se retrouvent dans le Wiltshire et se postent en haut des collines dans des endroits stratégiques où la probabilité d'apparition d'une formation est très grande. Ils veillent toute la nuit, armés d'appareils de photos, de caméras à infrarouges, de projecteurs, etc. dans l'intention d'observer un agroglyphe en cours de formation et d'enregistrer la séquence de réalisation. Mais ces opérations pourtant répétées un grand nombre de fois tous les ans se soldent toujours par un échec ! Durant l'été 2008 encore j'étais moi-même présent près de Milk Hill quand plusieurs équipes se sont réparties et installées sur la colline par une nuit claire où la lune brillait. Au lever du jour, personne n'avait rien vu ni rien enregistré... mais une nouvelle formation était pourtant là, réalisée à l'insu de toutes les personnes présentes. Et ceci est tout à fait typique de ce qui se passe chaque fois tous les ans !
Personne n'a donc réussi jusqu'à présent à fixer dans sa caméra les images d'un agroglyphe en train de se former, et ce malgré les très nombreuses tentatives (à une exception près cependant, à Oliver's Castle en 1996, mais du fait que cette exception est unique, elle a été controversée).
Les conclusions qui s'imposent sont :
d'une part, que ces réalisations ne peuvent pas être attribuées à des hommes (ils auraient été repérés au moins par leur rayonnement infrarouge) ;
d'autre part, que les auteurs sont des êtres qui nous sont invisibles. Invisibles à la lumière, mais aussi invisibles au rayonnement infrarouge ;
enfin, que ces auteurs s'appliquent toujours à réaliser leurs œuvres sans que les hommes présents pour surveiller puissent les voir, et puissent enregistrer des images d'une création d'agroglyphe. Alors que les équipes de veilleurs s'efforcent par tous les moyens de surprendre les auteurs sur le fait, il apparaît évident que ces auteurs font en sorte de ne jamais être surpris. Mieux, il arrive très souvent en été, comme dans l'exemple précédent, que ce sont les auteurs qui surprennent les hommes quand ceux-ci découvrent aux premières lueurs du jour qu'un nouvel agroglyphe a été créé pendant la nuit, bien qu'ils aient surveillé activement. C'est en fait comme s'ils se moquaient des hommes, comme s'ils les narguaient, ou qu'ils voulaient montrer leur différence !
On peut remarquer aussi que les témoins qui ont eu la chance de voir un agroglyphe en train de se former devant eux étaient toujours surpris par cette réalisation, et n'étaient pas dans une situation d'attente.
Les auteurs montrent des connaissances mathématiques avancées ...
Parmi de nombreuses observations, on peut remarquer :
Le haut degré de complexité des réalisations actuelles montre à l'évidence que les auteurs possèdent des connaissances géométriques, c'est-à-dire mathématiques, très avancées. Déjà dans les années 1990 ont été reconnues des réalisations d'agroglyphes qui étaient des illustrations de la théorie des fractales de Mandelbrot.
Un autre exemple frappant est la formation apparue à Barbury Castle à la fin du mois de mai 2008 (photo 1). Ce dessin, qui fait apparaître une suite d'arcs de cercles de rayons de courbure croissants, séparés par des décrochements, semble à première vue énigmatique. Mais si l'on extrapole tous ces décrochements jusqu'au cercle extérieur, on obtient ainsi autant de rayons de ce cercle, et après avoir complété par les rayons manquants, le cercle est alors partagé en dix secteurs égaux (photo 2). On s'aperçoit alors que le premier arc de cercle s'étend sur trois secteurs, puis un point a été dessiné, le deuxième arc occupe un secteur, le troisième couvre quatre secteurs, le quatrième un, le cinquième cinq, etc. On se rend compte quecette suite de chiffres représente exactement le nombre Pi qui vaut 3,14159... ceci avec dix chiffres significatifs, qui sont tous exacts bien sûr ! La suite de ces dix arcs de cercles (de ces dix chiffres) se poursuit par trois points, qui représentent des points de suspension puisqu'on sait que la suite des chiffres du nombre Pi est sans limite (nombre irrationnel).
On peut remarquer que ce nombre Pi a été exprimé dans la base 10 (le cercle a été partagé en 10 secteurs). On pourrait concevoir que ce nombre aurait pu être exprimé dans une autre base, la base deux par exemple qui est celle utilisée en informatique et dans les transmissions électroniques, et qui est une base universelle. Mais la base 10 est la base utilisée par les hommes, et ce message était bien sûr destiné à être lu par les hommes.
Autre exemple : dans une formation de 2006, l'effet de troisième dimension ou l'effet de perspective est frappant quand on observe d'avion les « tours » représentées dans un champ qui est bien sûr parfaitement plat (photo 3). On comprend que la restitution de cet effet demande des connaissances mathématiques très poussées.
Dès les années 1990, quand les motifs représentés étaient encore simples, souvent des ensembles de cercles ou d'anneaux, des études faites en mesurant les rapports des différents diamètres avait révélé queces rapports de distances étaient égaux aux rapports de fréquences des notes de la gamme diatonique (12) !(la gamme musicale). Ce résultat étonnant et fascinant est évidemment une nouvelle marque de l'authenticité des agroglyphes en question.
En 2006, plusieurs agroglyphes sont apparus, réalisés selon le même thème, avec deux « puits » juxtaposés représentés avec un effet saisissant de 3ème dimension (photo 4). Ce motif a été reconnu comme étant une bonne illustration de la théorie des trous de vers, récemment développée en physique avancée, et élaborée à partir de la loi de la relativité d'Einstein. Cette théorie s'intéresse au passage entre univers parallèles par un tunnel, ou trou de ver, reliant un trou noir à un trou blanc.
Plusieurs réalisations dans les champs sont des représentations fidèles du système solaire tel qu'on le connaît, avec ses neuf planètes principales (auxquelles est même ajoutée parfois la ceinture d'astéroïdes) (photos 5 et 6). Ces réalisations révèlent à l'évidence une bonne connaissance du système solaire.
On peut remarquer que, depuis quelques années, et après que les astronomes aient découvert au-delà de l'orbite de Pluton d'autres astres de petites dimensions (comme Pluton), ils ont procédé à une nouvelle classification des objets en révolution autour du soleil selon laquelle le nombre de « vraies planètes » est limité à huit, Pluton et les autres astres plus lointains étant classés comme « planètes naines ». Mais les agroglyphes continuent à décrire un système à neuf planètes, la dernière étant d'ailleurs excentrée (comme l'est Pluton), car ils sont destinés à être vus par nous tous les êtres humains, et nous avons en effet conservé l'habitude de représenter le système solaire par un ensemble de neuf planètes gravitant autour du soleil.
Au premier coup d'œil porté sur cette photographie (photo 7), on découvre cinq agroglyphes circulaires alignés. En réalité, un examen plus attentif montre qu'un seul agroglyphe a été réalisé au premier plan, dans le prolongement de quatre tumulus alignés, chacun de ces quatre tumulus ayant été souligné par le passage du tracteur qui a tracé deux cercles concentriques. Remarque amusante, il semble que le motif de cet agroglyphe ait été justement choisi pour donner l'illusion de ressembler aux autres tumulus. Mais la surprise a été quand un chercheur curieux a retrouvé dans les archives du village la preuve qu'il y a bien longtemps, un cinquième tumulus existait dans le prolongement des quatre autres, situé exactement là où l'agroglyphe a été réalisé !
Ce qui veut dire que cet agroglyphe a été réalisé en fait pour reproduire ce cinquième tumulus, vestige de l'histoire ancienne qui avait été détruit par l'homme, ce que même les habitants locaux avaient oublié ! Mais les auteurs de l'agroglyphe, eux, le savaient, preuve qu'ils connaissent même notre histoire.
Conclusions
Les caractéristiques de ces agroglyphes, et les conditions dans lesquelles ils apparaissent, imposent à l'observateur impartial la conclusion qu'ils sont les œuvres d'intelligences extérieures à notre humanité, mais qui sont présentes parmi nous, même si elles ne nous sont pas visibles. Les auteurs sont donc des êtres intelligents et immatériels, présents parmi nous.
Alors que l'homme se croît l'être le plus intelligent et le maître sur sa planète, alors qu'il cherche à établir un contact avec d'autres êtres vivants ailleurs dans l'univers, l'existence des agroglyphes montre que des êtres intelligents sont là sur Terre, mais l'homme ne le sait pas. Ainsi, des êtres intelligents extérieurs à notre humanité interpellent l'homme tous les ans, dans un grand nombre de pays tout autour du monde. Ils se manifestent par des œuvres spectaculaires et concrètes que tout le monde peut observer, mais la plupart des hommes continuent pourtant d'ignorer le phénomène et négligent de le considérer parce qu'ils ne le comprennent pas !
Si nous avons compris que les agroglyphes sont des messages, ou des signaux, envoyés par desêtres intelligentsinconnus de l'homme, et destinés à l'homme, à tous les hommes, la question de l'identité de leurs auteurs est évidemment essentielle, et la question du sens de ces messages est encore plus fondamentale.
Des êtres intelligents immatériels, ou qui seraient capables de se dématérialiser : on peut les désigner comme des êtres spirituels, ou pour employer un autre langage, des êtres vivant dans une autre dimension, ou sur un autre plan.
Deux catégories d'agroglyphes... et deux catégories d'auteurs
Deux agroglyphes de typestrès différentsde ceux décrits précédemment sont apparus en Angleterre ces dernières années.
Le premier en 2001 au pied de l'observatoire astronomique de Chibolton, formé de deux parties : la représentation d'un visage « humanoïde » d'une part, et un rectangle contenant une grille de points d'autre part, appelé message de Chibolton, du nom de l'observatoire (photos 1 et 2). Ce message a pu être décodé aisément quand on s'est aperçu que l'agroglyphe ressemblait beaucoup à la représentation visuelle du message envoyé par une équipe de chercheurs astronomes en 1974 à destination d'étoiles lointaines, dans le cadre d'un programme de recherche sur l'existence d'autres intelligences dans l'univers. Ce programme américain du SETI (Search for Extra Terrestrial Intelligences, ou recherches d'intelligences extraterrestres), dirigé par Carl Sagan, avait envoyé un message codé sous forme d'ondes électromagnétiques avec le télescope d'Arecibo (Porto Rico).
Quand on représente ce message sous forme visuelle (photo 3), on se rend compte en effet que sa structure est très semblable à celle du message découvert dans le champ de Chibolton (photo 4), ce qui indique que le code utilisé est le même. Mais des différences apparaissent, ce qui permet de considérer que le message de Chibolton constitue une « réponse « au message d'Arecibo. Et connaissant donc le code de ces messages, la réponse a pu être décryptée.
De la même façon que l'homme « se présentait » lui-même dans le message envoyé à Arecibo en 1974, les auteurs de cet agroglyphe ont donné quelques indications sur leur identité dans le message reçu à Chibolton en 2001. Mais ces indications sont évidemment sujettes à discussion, et ne donnent pas de réponse explicite (voir la proposition d'interprétation ci-dessous).
Une interprétation du message de Chibolton (2001)
Les messages d'Arecibo et de Chibolton se lisent de haut en bas.
Dans la ligne supérieure, sont indiqués les chiffres de 1 à 10 exprimés en code binaire. Cette ligne est identique dans les deux messages.
Au dessous figurent, dans le message d'Arecibo, les numéros atomiques des éléments principaux qui constituent le corps humain, à savoir l'hydrogène, l'oxygène, le carbone, l'azote et le phosphore. Une première différence apparaît dans la réponse de Chibolton : l'élément Silicium a été ajouté, signifiant que les auteurs de cette réponse possèdent aussi du silicium dans leur organisme, en plus des mêmes éléments que nous.
Au dessous nous trouvons un schéma simplifié de la molécule d'ADN, avec le nombre de nucléotides de base qui la constituent. Dans la réponse, on voit aisément que la molécule correspondante chez les auteurs de la réponse est plus complexe.
Puis au dessous et au centre, la représentation de la silhouette d'un être humain avec, à droite, la taille moyenne (1,74 m) et, à gauche, la population mondiale en 1974 (4,29 milliards). Dans le message réponse, on découvre la silhouette d'un être représenté avec une grosse tête, de petite taille (1,01 m), la population correspondante étant de 21,3 milliards.
Au dessous nous avons, dans le message d'Arecibo, une représentation du système solaire avec le soleil (à droite) et ses neuf planètes. La troisième planète (à partir du soleil) est décalée pour signifier que les êtres humains auteurs du message habitent cette planète : la Terre. Les quatre planètes suivantes, qui sont des planètes géantes, sont représentées avec de plus grandes dimensions.
Dans le message réponse de Chibolton, on a également une étoile et ses neuf planètes, qui donnent donc une information sur le système stellaire occupé par les auteurs du message, mais le code utilisé (choisi par les hommes) ne prévoyait pas de donner plus de précision ! On se trouve confronté à cette coïncidence que ce système stellaire possède le même nombre de planètes que notre propre système solaire : est-elle significative ? Je propose l'hypothèse de travail, même si elle peut paraître extravagante, que les deux systèmes pourraient bien être les mêmes. Dans cette hypothèse, les auteurs seraient alors présents sur les planètes décalées : numéro trois (la Terre), quatre (Mars) et cinq (Jupiter). Mais cette cinquième planète n'est pas représentée simplement comme dans le message initial d'Arecibo. On a ici un ensemble de quatre « points », qui font penser aux quatre satellites de Jupiter. Or il se trouve justement que la planète Jupiter est une planète gazeuse, donc impropre à une vie matérielle, mais qu'elle possède quatre satellites principaux de nature tellurique (que Galilée avait observé le premier à l'aide de sa lunette). Elle en possède en réalité un grand nombre d'autres, mais qui sont de plus petites tailles. Cette représentation de ce qui pourrait être les quatre satellites principaux de Jupiter tend à donner un peu de poids à l'hypothèse précédente.
En bas du message d'Arecibo, nous trouvons une représentation schématique du télescope qui a servi à l'émission (on voit la source du signal au centre, celui-ci étant réfléchi symétriquement par le miroir vers le bas), avec ses caractéristiques géométriques.
Au bas du message de Chibolton, on est donc censé trouver également une représentation de l'instrument qui a servi à l'émission du message. Or les spécialistes s'accordent à voir dans cette représentation une copie (simplifiée) de l'agroglyphe apparu l'année précédente (en 2000)... au pied du même télescope de Chibolton (photos 5 et 6) ! On peut voir dans cet agroglyphe de 2000 une antenne, représentée par une image fractale : le cercle central se divise en deux cercles à droite et à gauche ; puis chacun d'eux se divise de nouveau en deux, et ainsi de suite, en terminant chaque fois par trois points de suspension... comme un faisceau électromagnétique qui se divise progressivement et diffuse dans l'espace jusqu'à l'infini.
Mais le fait que cette antenne, qui est censée être l'instrument avec lequel a été envoyé le message de Chibolton, soit située au pied même de l'observatoire, pourrait bien traduire le fait que le message a été envoyé depuis là-même, c'est-à-dire que leurs auteurs sont présents là-même, autrement dit sont présents parmi nous ! Cette conclusion, qui paraît extravagante, est en tout cas cohérente avec l'interprétation proposée pour la ligne précédente, selon laquelle les auteurs seraient présents sur Terre !
Il est évident que tout ce raisonnement est parfaitement discutable et ne constitue en rien une démonstration, mais il présente l'avantage d'être cohérent. Il tendrait à montrer que les auteurs du message de Chibolton sont des êtres de type humanoïde (voir le visage associé au message) mais pourvus d'un corps de petite taille et d'une grosse tête (par rapport à l'homme), des êtres extraterrestres selon l'expression consacrée. Mais leur civilisation pourrait être présente sur plusieurs planètes de notre système solaire (dont la Terre !). Leur corps n'aurait sans doute pas la même densité que le nôtre puisque nous ne les voyons pas, et qu'ils ont réalisé cet agroglyphe au pied de l'observatoire sans avoir été vus : ils possèderaient donc apparemment la capacité de se rendre invisibles, c'est-à-dire de se dématérialiser... Il est évident que, d'autre part, leur civilisation serait beaucoup plus avancée que la nôtre. Science-fiction ou réalité ? L'agroglyphe de Chibolton en tout cas était bien réel.
Le deuxième agroglyphe de type différent est apparu en2002près de la ville deWinchester,dans la même région que le précédent. Il représentait aussi un visage mais de type différent (type alien), associé à un disque dans lequel était comme « imprimé » un message (photos 7, 8 et 9). On y voit en effet une série de « points » alignés sur une spirale, ce qui fait inévitablement penser à un disque compact contenant des informations imprimées sur une piste de lecture. Ce message a pu être décodé facilement car il s'est avéré être la traduction en langage ASCII (en langage informatique) d'un texte écrit en anglais. Ce texte ne fournit pas non plus de réponse explicite sur l'identité de ses auteurs, mais le visage associé indiquerait que les auteurs seraient des êtres « extraterrestres » de type différent de l'homme, et différent des auteurs du message de Chibolton.
Il faut bien réaliser que cet agroglyphe est le premier et le dernier à ce jour, c'estle seul qui contienne un message écritdans une langue humaine, l'anglais transcrit en code ASCII.
Après traduction en français, nous obtenons :« Méfiez-vous des porteurs de faux cadeaux et des promesses non tenues. Beaucoup de peine mais il est encore temps. Croyez. Il y a du bon là-bas. Nous nous opposons à la tromperie. »
Ce message énigmatique veut nous inciter à la prudence, au discernement, et à ne pas céder aux illusions...
Ces deux agroglyphes sont tout à faitoriginauxet absolumentuniques: non seulement ce sont les deux seuls qui représentent un visage parmi les milliers de formations observées jusqu'à présent ; maisce sont aussi les deux seuls qui contiennent un message explicite contenant des informations intelligibles adressées à l'homme.
Ceci pourrait d'ailleurs nous faire suspecter une supercherie humaine, mais il faut remarquer que le message de Chibolton par exemple a été réalisé presque sous les fenêtres de l'observatoire dans lequel travaillent en permanence un grand nombre de météorologistes, et dans un champ dont l'accès est interdit.
De plus, les techniques d'expression utilisées dans le premier message (grille de points dans un rectangle) comme dans le deuxième (ligne de points alignés en spirale dans un cercle) sont aussi tout à fait originales. Quelques formations des dernières années représentent bien un disque avec une série de points, mais dans ces cas-là cela reste une représentation purement géométrique, sans aucun contenu explicite de message codé.
Par contre, les milliers d'agroglyphes qui ont été observés depuis le début des années 1990 (quand les auteurs ont dépassé le stade des cercles et des segments) ont un rapport souvent évident avec la géométrie sacrée, ou avec le symbolisme ésotérique, ou desthéories mathématiques ou physiques, etc... mais ne contiennent jamais de message explicite et intelligible comme dans les deux cas précédents.
Les agroglyphes étant ainsi classés en deux catégories bien distinctes, nous pensons que les auteurs des agroglyphes authentiques peuvent aussi être classés en deux catégories différentes (au moins)
Les auteurs des deux agroglyphes de type message codé
Dans les deux messages codés, le premier décrit un être de petite taille (un mètre environ) avec une grosse tête, et le deuxième montre un visage de type très différent de celui de l'homme. Cela nous porte à penser que leurs auteurs ont un corps, tout comme nous, mais qui est différent du corps humain. Ils se présentent donc eux-mêmes comme des êtres extraterrestres de type humanoïde, selon la terminologie habituelle.
Ces deux agroglyphes tendraient à nous faire comprendre que deux civilisations extraterrestres différentes se sont manifestées au moins une fois sur la Terre, et seraient donc peut-être présentes parmi nous. Deux civilisations forcément plus avancées que la nôtre, dont les représentants vivraient dans une autre dimension que nous, et seraient capables de se rendre invisibles à nous.
Mais il faut se garder de faire l'amalgame avec les milliers d'autres agroglyphes de l'autre catégorie.
Les auteurs des milliers d'agroglyphes de type géométrique
Reposons le problème : nous avons vu que les agroglyphes sont les œuvres d'êtres intelligents et immatériels, présents parmi nous.Or l'homme moderne n'a pas connaissance que de tels êtres soient présents sur Terre puisque pour lui, les seuls êtres vivants qui habitent cette planète sont la multitude des êtres du monde animal et les êtres humains eux-mêmes, mais les hommes sont les seuls êtres doués d'une intelligence et d'une conscience. C'est bien ce que nous avons tous appris par l'éducation que nous avons reçue.
C'est pourquoi notre questionnement sur l'identité des auteurs des agroglyphes nous amène naturellement à imaginer que ces êtres intelligents et immatériels viennent d'ailleurs, viennent de l'espace, d'où l'hypothèse couramment proposée de leur origine extraterrestre. D'ailleurs, l'existence des deux messages codés de Chibolton et Winchester vient effectivement renforcer cette hypothèse, et la plupart des gens en viennent à penser alors que les auteurs recherchés ne peuvent être que des créatures très évoluées, originaires d'un autre système stellaire.
Mais autrefois, les hommes connaissaient pourtantl'existence d'êtres spirituels sur Terre,nos anciens connaissaient en effet les êtres que la tradition judéo-chrétienne appelle les anges, les archanges et toute la hiérarchie spirituelle, qui sont décrits comme des êtres plus évolués que l'homme. Ils connaissaient aussi l'existence desêtres élémentaires, appelés parfoisêtres de la naturecar ils sont responsables des forces de la nature, de la croissance des plantes par exemple.Mais notre civilisation moderne marquée par la prédominance de l'intellect et le règne de la rationalité, par un développement technologique qui augmente exponentiellement et un attachement toujours croissant aux biens matériels, nous a fait perdre toute sensibilité aux choses subtiles, nous a fait perdre le sens de l'intuition, et nous a fait oublier ces connaissances qui sont passées au rang des mythes et légendes.Pourtant ces légendes font partie de l'histoire ancienne de tous les peuples, sous toutes les latitudes, et nous savons qu'il y a toujours une part de réalité à la base de ces légendes.
De plus, certains parmi nous, qui ont reçu en don une certaine sensibilité au subtil, les médiums, les clairvoyants mais surtout les enfants en bas âge, ont la capacité de percevoir, ou même de voir les êtres élémentaires de la nature en particulier (13-14-15). Il se trouve même que les personnes capables de les voir (et elles seules) sont naturellement capables de les photographier (photos 10 et 11) et peuvent par là apporter des éléments de preuve aux autres (à condition bien sûr de pouvoir écarter toute fraude à coup sûr) !
Et, même si ce sujet est peu connu, très nombreux sont les témoignages de scènes dans lesquelles une présence extérieure à nous se manifeste, pour nous sauver d'un danger imminent par exemple, ou pendant une expérience aux frontières de la mort (NDE) (16). On parle alors de notre ange gardien.
Les hommes ne sont pas les seuls êtres intelligents dans l'univers - cette idée est de plus en plus souvent prise en considération aujourd'hui par les scientifiques - mais ils ne sont pas non plus les seuls êtres intelligents sur Terre (17), même si cette idée est encore contraire à l'opinion couramment répandue. Nous pensons que l'hypothèse d'une origine terrestre des agroglyphes, c'est-à-dire qu'ils seraient les œuvres d'êtres spirituels liés à la Terre et présents parmi les hommes, mérite et doit être explorée. Cette hypothèse s'appuie sur les connaissances que nos Anciens avaient de ces êtres spirituels, complétées par les ouvrages contemporains écrits sur le sujet et les témoignages actuels.
La réponse à la question : « quels êtres spirituels se manifestent dans les agroglyphes ? » demande avant tout d'avoir une connaissance suffisamment large du monde spirituel. Or force est de constater que l'homme moderne a bien peu de connaissances de ce monde, depuis qu'il a perdu ses capacités de perception directe..
La hiérarchie des êtres spirituels sur Terre
D'après l'histoire des religions comme d'après les philosophes spirituels contemporains(17-18-19), les anges, les archanges, etc. sont des guides spirituels pour les hommes et pour l'humanité. Cesêtres angéliquesne se manifestent pas matériellement à nous (ils ne sont pas matériels) et c'est pourquoi nous ne les percevons pas. Ils se manifestent directement à notre esprit, pendant notre sommeil en particulier, de façon inconsciente pour nous. Par exemple, chacun de nous est accompagné dans son existence par un ange (par un guide) qui lui est propre - l'ange gardien - et dont on peut parfois pressentir la présence dans les moments clés de notre vie. Ils sontplus évolués que l'homme, et il existe une hiérarchie entre les anges, les archanges, etc. On peut se faire une idée de ces êtres en les imaginant comme des entités « parfaites », ayant développé toutes les qualités nobles, et qui sont au service de l'humanité. Cette idée de hiérarchie - hommes, anges, archanges, etc. - fait donc appel à la notion d'évolution.
De même qu'il existe des êtres appartenant à la hiérarchie supérieure (supérieure à l'homme) sur l'échelle de l'évolution, tels que les anges et les archanges, il existe aussi des êtres situés plus bas sur cette échelle, qui sontmoins évolués que les hommesetsont appelésêtres élémentaires(19-20-21). Ils sont appelés ainsi car ils sont attachés à l'un ou l'autre des éléments que sont la terre, l'eau, l'air et le feu, et qui constituent notre monde. « C'est comme s'ils avaient leurs domaines, leurs territoires, dans ces éléments, tandis que le domaine de l'homme est la planète entière. De même que l'être humain est chez lui dans l'univers, ces êtres ont leur territoire dans un des éléments nommés. (18)»
Ce monde des êtres élémentaires est très complexe, la très grande variété des noms qui leur ont été donnés en témoigne déjà : tout le monde a pu lire des contes dans lesquels interviennent des fées, des lutins, des farfadets, des faunes, des nains, des gnomes, des elfes, des ondines, des sylphes, etc. On peut s'en faire une idée en les imaginant comme des esprits purs au service de la nature. Ils sont chargés de la croissance des plantes pour les uns, ou chargés de mettre de l'harmonie dans un lieu pour d'autres, ou chargés de guider les oiseaux ou les insectes dans leurs déplacements, etc.
Rudolf Steiner, philosophe clairvoyant, les décrit comme des êtres étonnamment vifs et intelligents, qui comprennent immédiatement tout ce qu'ils perçoivent et s'intéressent beaucoup au monde qui les entoure. « Ils possèdent un sens qui ne fait pas que voir et entendre, mais qui aussitôt comprend ce qu'il voit et ce qu'il entend, un sens qui ne reçoit pas seulement des impressions, mais saisit partout des idées. Ce qu'ils voient, ils le savent du même coup, voir et savoir n'est pour eux qu'un seul acte. En ce sens, leur savoir ressemble, jusqu'à un certain point, à celui des hommes, mais leur entendement est universel, c'est pourquoi ils regardent de haut l'entendement des hommes, qu'ils considèrent même comme assez médiocre (21) ».
Mais ils ont des possibilités d'intervention très limitées dans leur domaine, et ils n'ont pas de relation directe avec les hommes. D'ailleurs la plupart d'entre eux ne s'intéressent pas à l'homme : leur attention est dirigée essentiellement vers le milieu naturel dans lequel ils vivent et dont ils sont responsables, mais ils souffrent justement des dégradations de ce milieu, et ils savent que l'homme en est responsable.
Anges ou êtres élémentaires ?
Dans l'hypothèse d'une origine terrestre des agroglyphes, qui seraient donc créés par des êtres spirituels liés à la Terre, devons-nous chercher cette origine vers les êtres plus évolués que nous, les anges, ou bien au contraire vers les êtres moins évolués, les êtres élémentaires ?
Si l'on considère l'aspect mystérieux du phénomène, qui dépasse nos capacités d'entendement actuelles, nous sommes tentés de penser que les agroglyphes sont les œuvres d'êtres plus évolués que l'homme, donc des entités angéliques. Il paraît difficile en effet d'envisager que ces œuvres d'art souvent magnifiques et qui témoignent de connaissances très élaborées puissent être créées par des êtres moins avancés que l'homme sur l'échelle de l'évolution.
Pourtant, l'absence de message explicite dans les agroglyphes, et un certain nombre d'observations approfondies qui mettent en évidence des imperfections, des anomalies et une évolution frappante depuis les techniques les plus simples jusqu'à la complexité actuelle, nous amènent à penser au contraire que les auteurs seraient plutôt des êtres intelligents mais peu évolués qui s'expriment par ce moyen.
La saison 2009 a commencé très tôt (dès le 14 avril) avec un grand nombre de formations dans deschamps de colza en fleurs.N'ayant pas pu me rendre sur le terrain avant le mois d'août pour faire personnellement mes observations, mes réflexions s'appuient sur les photographies disponibles sur les sites Internet spécialisés.
Aux mois d'avril et mai, les tiges de colza sont fragiles et il est impossible pour l'homme de les coucher au sol sans les casser. On observe pourtant dans tous les agroglyphes des tiges proprement courbées au dessus du sol, sans cassure ni pliure (photo 1).
De plus les fleurs sont très délicates, et perdraient leurs pétales sous l'effet d'une action mécanique humaine. Or les photographies montrent bien que les fleurs des tiges pliées sont intactes (photo 2), ceci est la preuve que la force mise en œuvre, qui est respectueuse de la plante, est appliquée de façon douce et n'est pas de nature mécanique.
Enfin, il arrive souvent qu'une proportion plus ou moins importante de tiges ne soit pas courbées et restent verticales au milieu des tiges pliées (photo 3). Cette observation est encore incompatible avec l'action mécanique d'une planche qui serait utilisée par l'homme, et montre que la force (quelle que soit sa nature) est appliquée avec une intensité modérée, ce qui a pour effet que les plantes qui sont naturellement plus résistantes ne sont pas affectées.
Ainsi, puisque tous les essais réalisés par divers chercheurs ont abouti à la détérioration des plantes, le fait que les plantes sont respectées dans les crop circles formés dans les champs de colza, nous indique queces formations ne peuvent pas être d'origine humaine: elles sont authentiques. Onze formations ont été créées entre le 14 avril et le 10 mai 2009.
On a même découvert un glyphe créédans une plantation de lin, dont la plante est aussi très fragile. De dimension modeste et de forme géométrique simple, il n'en est pas moins étonnant quand on se rend compte que ni les tiges ni les fleurs n'ont été endommagées (photos4et5).
Des formations près des tumulus et/ou des chevaux blancs
D'autre part, et comme les années précédentes, plusieurs de ces formations sont apparues soità proximité d'un tumulus, soità proximité d'un cheval blanc, soit à la fois près d'un tumulus et d'un cheval blanc (photos6, 7, 8et9).
La même observation a été faite avec plusieurs formations dans le blé. En juillet à West Down Gallops (photo 10), la formation montrait une espèce de grande aiguille, qui était précisément dirigée vers le tumulus voisin, lequel était planté d'arbres, avec une pierre levée en son sommet (photos11et12).
La formation appelée « masque maya », en raison des motifs représentés (photo 13), présente un axe de symétrie qui est exactement dirigé vers la colline Silbury comme pour la montrer du doigt.
Les chevaux blancs de Milk Hill et de Pewsey ont aussi attirés plusieurs formations dans les champs de blé avoisinants (photo15).
Ces localisations ne peuvent pas être le résultat du hasard.Nous avons montré dans une page précédente (voir la page : « Quel est le sens des agroglyphes ?») que les très nombreux tumulus du Wiltshire en Angleterre sont des témoignages laissés par les descendants de la civilisation atlante qui ont séjourné dans cette région, il y a plusieurs milliers d'années. Et la tradition humaine qui consiste à dessiner et entretenir le tracé au sol des chevaux blancs semble trouver sa source chez les mêmes descendants des Atlantes qui habitaient autrefois cette région. Les crop circles, en attirant notre attention vers ces témoins de la civilisation atlante,veulent nous rappeler cette civilisation oubliée qui a précédé la nôtre.
Le cheval blanc de Devizes, près duquel ont été dessinés deux crop circles dans des champs de colza, est très récent puisqu'il a été réalisé en 1999. Mais on sait qu'il a été créé pour remplacer une autre représentation de cheval qui existait tout près de là et qui, étant située dans une propriété privée, avait disparu faute d'entretien. Par contre, le cheval blanc le plus ancien (tout au moins parmi ceux qui ont résisté au temps jusqu'à aujourd'hui), situé à Uffington, date de plusieurs milliers d'années, et il est remarquable de constater que cette tradition de dessiner ainsi des chevaux dans le sol crayeux ait perduré jusqu'à aujourd'hui et soit encore aussi vivace ! Cela montre la profondeur de l'empreinte laissée dans l'inconscient collectif des hommes de cette région, empreinte qui semble donc prendre sa source chez les Atlantes il y a 5000 ou 6000 ans.
Deux formations ont montré pour la première fois cette annéeplusieurs séries de signes énigmatiquesalignés, qui sont sans rapport avec les motifs géométriques habituels, et donnent l'impression de caractères alphabétiques appartenant à unalphabet inconnu.De ce fait, certains chercheurs pensent voir là les signes d'un langage ancien à décrypter... Ces deux formations sont apparues à trois jours d'intervalle et dans le même secteur : la première le 27 juin dans South Field (Alton Priors) (photo 14), et la seconde le 30 juin sous le cheval blanc de Milk Hill (photo17).
A noter que ce dernier dessin à Milk Hill a été constitué en trois phases (21, 23 et 30 juin), les « caractères alphabétiques » ayant été ajoutés à la suite d'un dessin géométrique (photos15, 16et17).
Ces caractères, dont l'authenticité n'a pas été mise en doute, sont totalement nouveaux parmi les représentations de crop circles. Ils révèlent un « style inhabituel », très différent de tous les autres dessins géométriques qui sont presque toujours construits sur la base de cercles ou d'arcs de cercles, et qui montrent toujours des éléments de symétrie. Ces alignements de signes sont relativement simples et font apparaître quelques répétitions à South Field, mais sont plus variés et tous différents entre eux à Milk Hill. Il se dégage de leur observation une impression de dysharmonie ou tout au moins une énergie très différente, comme si les auteurs avaient été animés d'une intention différente. On peut même s'interroger sur le fait que les créateurs de ces caractères pourraient les avoir « greffés » sur les dessins géométriques préalablement créés par d'autres auteurs.
Ces deux agroglyphes sont uniques à ce jour.Ils doivent donc être classés à part des autres et leur interprétation doit être abordée avec prudence. Pour ma part, ils m'inspirent deux types de réflexions, qui peuvent d'ailleurs être complémentaires.
D'une part ces signes me rappellent queles êtres élémentaires, qui sont probablement les auteurs des crop circles (voir la page précédente «Qui sont les auteurs des agroglyphes ?»), sont capables d'humour (19). On pourrait voir dans ces séries de signes une réponse à l'attente de certains hommes qui sont dans l'ignorance de la véritable origine des agroglyphes mais comprennent cependant que des êtres intelligents extérieurs à l'humanité s'adressent ainsi à nous. Ils espèrent alors que leurs auteurs se manifesteront enfin un jour en écrivant explicitement dans les champs les messages qu'ils veulent nous transmettre. Ces signes étranges dans les champs pourraient être ainsi une forme d'humour de leur part car ils semblent contenir un message écrit, mais celui-ci nous est incompréhensible.
Mais, considérés au premier degré, ces signes pourraient aussi chercher à nous faire comprendre que leurs auteurs voudraient bien se faire enfin comprendre, mais ne peuvent pas se manifester autrement que par des figures géométriques dans les champs, car ils ne connaissent pas l'écriture des hommes. Le niveau d'évolution limité des élémentaux ne leur permet pas de maîtriser l'écriture (ce qui ne les empêche pas d'émettre et de recevoir des pensées, et d'avoir une intelligence très développée dans certains domaines). L'écriture qui consiste à graver des pensées dans la matière est par nature une forme de communication propre à des êtres intelligents et incarnés dans la matière. Elle est adaptée à l'homme mais on peut comprendre qu'elle n'est pas adaptée à des êtres immatériels tels que les êtres élémentaires. De plus, il faut se souvenir que l'homme lui-même n'a développé l'écriture que depuis très peu de temps au regard de son histoire. Même si le langage parlé remonte beaucoup plus loin dans le temps, les plus anciens textes retrouvés, gravés en écriture pictographique dans des tablettes d'argile par les Sumériens, datent de 5500 ans seulement.
Les élémentaux communiquent directement par leur pensée mais les hommes ne sont pas réceptifs à ces pensées (sauf les géobiologues qui ont appris à côtoyer les esprits de la nature (14-15)). Pour eux, la communication passe par le langage parlé ou écrit, que les élémentaux ne pratiquent pas. Ceux-ci ont donc des moyens d'expression limités quand ils veulent communiquer avec les hommes, et ne peuvent pas s'exprimer autrement que par ces dessins imprimés dans la matière, les dessins étant en quelque sorte une forme de langage universel(37).
Galiléedisait en effet : «On ne peut pas comprendre l'univers sans apprendre d'abord à comprendre le langage dans lequel il est écrit. Il est écrit dans le langage des mathématiques, et ses lettres sont destriangles, des cercles et d'autresformes géométriques, sans lesquelles il est impossible à l'homme de comprendre un seul mot. »
Idée que O. M. Aïvanhov a développée en écrivant(37) : «Les réalitésles plus riches et les plus complexes, ramenées à l'essentiel, sont exprimées dans des images, des symboles. Les symboles sont le langage de la Nature elle-même, mais pour la majorité des gens, ce langage est encore indéchiffrable. Le langage symbolique absolu est celui des figures géométriques. Les figures géométriques sont comme la charpente de la réalité.Il faut apprendre à voir les symboles dans leur aspect « squelettique »et pour cela il faut aller beaucoup plus loin et plus haut,là où ils sont complètement dépouillés, où ils sont réduits à de pures abstractions : des figures géométriques. »
Ces pensées résument sans doute le fond du problème posé par le phénomène des agroglyphes: les élémentaux se sont toujours adressés à nous dans les champs en réalisant des figures et symboles géométriques, qui sont le langage de la Nature comme l'exprime O. M. Aïvanhov. Mais les hommes ne sont pas sensibles à cette forme de langage, et leurs auteurs, qui se manifestent ainsi à nous avec insistance depuis très longtemps, se rendent bien compte qu'ils ne sont pas entendus. Par ces signes étranges, ils veulent peut-être nous faire comprendre qu'ils ne peuvent pas faire plus, en nous montrant qu'ils n'ont pas les moyens d'écrire leur pensée...
Cette réflexion pourrait nous amener à faire le lien avec les messages codés contenus dans les crop circles apparus en 2001 et 2002, respectivement près de l'observatoire de Chibolton et près de la ville de Winchester, et qui ont été aisément déchiffrés (voir la page : «Qui sont les auteurs des agroglyphes ?»). Mais dans ces deux cas-ci, les auteurs se présentaient clairement comme des êtres extraterrestres (par les informations contenues dans le message ou par la forme du visage représenté), c'est-à-dire en conséquence des êtres plus évolués que l'homme, et les messages étaient facilement intelligibles puisque écrits tous les deux selon des codes utilisés par l'homme. Il faut donc se garder de mélanger ces deux types d'agroglyphes.
Autre caractéristique de cette saison 2009, plusieurs formations dans le blé ont été fauchées par des fermiers irascibles qui n'acceptaient pas de voir que des inconnus avaient « envahi » leur propriété privée sans leur autorisation, et s'étaient permis de coucher une partie de leur récolte au sol !
En deux endroits (à Winterbourne Bassett, et près d'Avebury), le dessin a été entièrement supprimé le jour même de sa découverte. Sur la photo 18, le grand cercle clair est le résultat du fauchage de l'agriculteur, mais on peut deviner dans ce cercle les traces du motif qui avait été dessiné avant.Dans ces deux cas, les auteurs sont revenus peu après dans le même champpour dessiner un autre motif à côté du premier (trois jours après à Winterbourne Bassett (photo 18)). Là, le fermier s'est alors résigné et n'est pas intervenu davantage, mais a placé cependant à l'entrée de son champ une pancarte en interdisant l'entrée. Dans le champ près d'Avebury, par contre, son collègue a supprimé une deuxième fois le glyphe avec son tracteur, et les auteurs se sont alors abstenus d'intervenir de nouveau.
Troisième cas similaire : un agroglyphe réalisé à Cannings Cross (près d'Allington) a été partiellement effacé par le fermier dès le premier jour (photo 19), si bien qu'aucune photographie n'a été prise de la formation initiale intacte. Mais il s'est contenté de façon curieuse de faucher les blés sur une bande circulaire dans le motif. Il est intéressant de remarquer qu'il n'a pas osé supprimer le glyphe dans son entier, comme si son geste avait été arrêté... Il se pourrait que le fermier ait reçu là une influence subtile extérieure, qui aurait réussi à limiter son geste de destruction, de sorte qu'une certaine harmonie du dessin ait été conservée.
La photo20est un montage photographique montrant le dessin tel qu'il devait être avant d'avoir été partiellement détruit par le fermier.
Après cet épisode,les auteurs sont revenusle 13 juilletpour corriger dans la mesure du possible les « dégâts» du paysan, et compléter le motif abîmé (photo 21). Le fermier s'est alors résigné et n'est plus intervenu après ce second passage des auteurs, mais il n'en a pas moins montré sa mauvaise humeur en accueillant les visiteurs avec brutalité pour leur empêcher d'entrer dans son champ, ceci avant que la police n'intervienne !
Un enchaînement semblable était déjà apparu une fois en 2008 à Avebury Manor. Après que les auteurs aient représenté dans un champ de blé un magnifique système solaire, avec le soleil et ses neuf planètes sur leurs orbites respectives (photo 22), le fermier mécontent était venu avec son tracteur, mais s'était limité à faucher trois travées entre les doubles traces du tracteur, et à abîmer le centre du motif. Là encore il est intéressant de remarquer que, bien qu'il était venu manifestement dans l'intention de supprimer le glyphe, il s'était ensuite ravisé et avait abandonné son travail de destruction après l'avoir à peine entamé. Comme si là encore il avait reçu une influence extérieure qui avait retenu son geste...Puis les auteurs étaient revenus dès le lendemainpour effacer dans la mesure du possible les marques du passage de la faucheuse au centre ; ils avaient pour cela élargi le cercle central (correspondant au soleil), ce qui avait pour conséquence de supprimer les orbites des deux premières planètes (photo23). Ils avaient ensuite ajouté un grand nombre d'autres motifs très variés dans le même champ en dehors de la représentation du système solaire (photo24), un peu « comme s'ils voulaient montrer leur savoir-faire ». Le fermier s'était alors résigné et avait laissé les visiteurs pénétrer dans son champ.
Dans ces quatre cas, les auteurs semblent faire preuve ainsi d'une certaine persévérance pour « faire passer leur message » auprès des hommes, quand les fermiers récalcitrants les font disparaître. Ceci révèle un certain état de tension chez certains fermiers, et en même temps le fait queces « messages » sont considérés comme importants et urgentspar leurs auteurs, qui se permettent de bousculer un peu les propriétaires des champs.
Autre nouveauté 2009: une formation coupée au niveau de la bordure du champ à Martinsell Hill (photo 25) le 19 juillet. La première idée qui vient en général à notre esprit est que le dessin n'a pas été correctement centré dans le champ, qu'il y a eu une erreur de visée, mais on s'aperçoit que les cercles manquant auraient pu (ou auraient dû) être dessinés dans le champ d'herbe voisin, or ce n'est pas le cas. Les blés ont été couchés jusqu'à une limite qui est exactement la limite des céréales, et l'herbe n'a pas du tout été touchée, bien qu'étant plus souple que le blé : elle aurait dû être couchée si la même force lui avait été appliquée (photo 26). Cette observation montre que le dessin a été volontairement coupé en bordure du champ de blé. Pour quelle raison ? Cela ressemble à un clin d'œil humoristique, comme pour frapper davantage notre attention, et/ou pour montrer la maîtrise « technique » des auteurs. Encore un trait d'humour des êtres élémentaires qui sont sans doute à l'origine de ce glyphe.
Plusieurs fermiers compréhensifs
Plusieurs fermiers dont les champs ont été choisis pour dessiner des agroglyphes ont mis en place cette année une boîte métallique au centre de la formation ou en bordure de leur champ, demandant gentiment une participation financière aux visiteurs pour dédommagement des pertes dues au piétinement accumulé. C'est une pratique intelligente par laquelle ils montrent d'une part leur acceptation devant le fait accompli qu'un crop circle ait été formé dans leur propriété, et d'autre part leur compréhension que celui-ci s'adresse aux hommes de façon générale, et en conséquence il est normal que toutes les personnes intéressées puissent venir l'observer de près dans son champ. Il est agréable de constater que cette attitude a été observée plusieurs fois, même si elle n'est pas partagée par tous les agriculteurs.
Cette attitude de compréhension, de respect et de bienveillance envers les visiteurs qui se sentent ainsi invités à entrer dans le champ devrait favoriser la même attitude de la part de ceux-ci, qui devraient de leur côté éviter de traverser les champs en dehors des sillons de tracteur.
Première nouveauté de la saison : un grand nombre d'agroglyphes, en commençant par le premier formé le 5 mai 2010, ont été réalisés au pied de cesenceintes défensives en terreque les Anglais appellent « castles » ou « hillforts » et qui sont nombreuses dans cette région.
Ce sont des surfaces planes plus ou moins circulaires, aménagées sur des hauteurs le plus souvent (au sommet de collines) ce qui donnait une vision panoramique, et qui abritaient des villages autrefois, à l'âge du bronze ou du fer. Un profond fossé creusé tout autour de ces enceintes, et une ou deux levées de terre, permettaient aux habitants de se protéger des attaques extérieures. Il ne reste rien aujourd'hui des habitations construites en bois (photo1, 2et3).
Les plus connues sont par exemple « Barbury castle », « Uffington castle » ou « Oliver's castle », parce qu'elles ont attiré ainsi des formations d'agroglyphes les années passées (photo4), mais cela n'a pas été le cas cette année pour ces « castles ».
En effet, la deuxième nouveauté de la saison est que la zone proche d'Avebury, qui représentait ces dernières années la zone de plus grande probabilité d'apparition des agroglyphes, là où leur concentration était la plus élevée, a été comme désertée en début de saison par les auteurs de ces dessins. Toutes les enceintes défensives en terre qui ont été ainsi comme pointées du doigt par les glyphes, sont situées en périphérie de cette zone de plus grande probabilité (voir liste ci-dessous et photo 5). A quelques exceptions près, ce n'est qu'à partir de la fin-juillet que les auteurs des crop circles ont de nouveau concentré leurs réalisations autour du site mégalithique d'Avebury..
Cette quasi-absence de glyphes près d'Avebury en début de saison et donc la décentralisation des formations, puis de nouveau la concentration autour de ce village après le 25 juillet, sont surprenantes et nouvelles. Peut-être peut-on rapprocher cette observation avec le fait que l'année précédente en 2009, plusieurs agriculteurs proches de ce village avaient réagi violemment quand ils avaient découvert un dessin dans leur champ, en le supprimant aussitôt, partiellement ou totalement. Plusieurs fois les auteurs avaient insisté en se manifestant de nouveau par un autre dessin dans le même champ ou en complétant le dessin précédent partiellement effacé, mais il est probable que les agriculteurs étaient restés enfermés dans leur exaspération liée à leur incompréhension de l'origine du phénomène (voir le résumé de la saison 2009 en Angleterre). Il n'y a pas eu de scène de ce type en 2010.
Liste des enceintes défensives en terre associées à un agroglyphe en 2010 :
1 -
5 mai
Old Sarum (près de Salisbury)
Wiltshire - Sud
2 -
16 mai
Yarnbury Castle (près de Winterbourne Stoke)
Wiltshire - Sud
3 -
2 juin
Liddington Castle (près de Swindon)
Wiltshire - Nord
4 -
3 juin
Codford St Peter (près de Warminster)
Wiltshire - Sud
5 -
25 juin
White Sheet Hill (près de Mere)
Wiltshire - Sud-ouest
6 -
3 juillet
Chapelle St Martin (près du camp de Chisbury)
Wiltshire - Est
7 -
6 juillet
Danebury Hill, (près de Nether Wallop)
Hampshire
8 -
9 juillet
Cley Hill (près de Warminster)
Wiltshire - Sud-ouest
9 -
17 juillet
Fosbury (près de Vernham Dean)
Wiltshire - Est
10-
27 juillet
Bratton Castle (près de Westbury)
Wiltshire - Sud-ouest
Localisations des agroglyphes apparus dans le conté du Wiltshire en 2010 (à partir de la carte composée par Bert Janssen) Point rouges = formations près des enceintes défensives en terre. Les formations se sont concentrées près d'Avebury en fin de saison.
Sur la quarantaine de formations significatives qui ont été répertoriées dans le sud de l'Angleterre cette année, dix d'entre elles étaient ainsi situées au pied de l'une de ces enceintes défensives antiques, soitune proportion de 24 %, ce qui est considérable (et nouveau).
Hypothèse de signification
Quelle pourrait être la signification de ces localisations ? Ces enceintes en terre représentent des vestiges de villages fortifiés antérieurs à notre ère, et datent de 2 000 ans à 3 000 ans. De façon évidente, les auteurs de ces agroglyphes ont cherché à attirer l'attention des hommes sur ces vestiges. On peut penser qu'ils cherchent ainsi à nous sensibiliser à notre propre histoire. Pourquoi ?
Après avoir depuis de nombreuses années attiré notre attention sur les mégalithes et les tumulus, qui sont autant de vestiges laissés par les hommes qui ont vécu là il y a 5 000 ans environ, et sur les « chevaux blancs », tradition humaine toujours vivace qui semble trouver sa source à la même époque (voir la rubrique «Quel est le sens des agroglyphes ?»), il semble que les auteurs des agroglyphes ont voulu cette année compléter leur travail d'éveil (ou de réveil) des consciences humaines en pointant du doigt d'autres vestiges des temps anciens.En nous amenant ainsi à porter un regard sur notre histoire, ils nous invitent peut-être à mieux nous connaître, et à mesurer l'évolution très importante de notre civilisation.
Pour être plus précis, plaçons-nous dans l'idée développée précédemment que les auteurs des agroglyphes géométriques seraient des esprits de la nature. On peut penser alors que, en désignant ainsi ces témoignages d'époques historiques où les hommes vivaient encore très proches de la nature, ils nous invitent à nous rappeler que les hommes de ces temps-là avaient encore la connaissance et la perception des êtres de la nature et du monde invisible. Mais l'évolution de l'homme, qui depuis cette période l'a amené à développer son intellect et ses facultés de raisonnement, a entraîné la perte de ses capacités de perception du monde suprasensible. Cette évolution s'est accompagnée de la montée du matérialisme, et l'homme a ainsi oublié ces connaissances et a perdu le contact avec la nature et avec les esprits.
Le phénomène des agroglyphes nous est encore mystérieux, justement parce que les hommes d'aujourd'hui ont perdu la connaissance de ce monde invisible. Leurs auteurs, des esprits de la nature, tentent de nous alerter pour nous inciter à nous réapproprier cette connaissance, mais ils ne peuvent pas s'exprimer autrement que par des symboles et des dessins géométriques réalisés dans la matière végétale vivante. Ils font alors tout leur possible en attirant notre attention sur les vestiges de cette époque ancienne pour nous rappeler que les hommes de cette époque possédaient encore cette connaissance.
Le site mégalithique de Stonehenge, qui semblait délaissé ces dernières années, a été de nouveau mis à l'honneur par un beau dessin dans un champ de colza (photo 6). On peut remarquer que le motif constitue une variation autour de trois cercles dont les centres sont alignés, et que cette direction est parfaitement alignée avec le cercle de pierres. Le message est clair (au premier degré...).
Tumulus :
Comme les années précédentes, les agroglyphes ont souvent été dessinés près de tumulus, qui sont très nombreux dans cette région, manifestement pour attirer notre attention sur eux (photos7, 8et9). Parmi les 41 formations significatives signalées cette année 2010 dans le sud de l'Angleterre, onze sont apparues près d'un tumulus, soit la proportion très élevée de 27 %.
Deux agroglyphes ont été réalisés dans des champs au pied des « chevaux blancs » de Milk Hill (photo10)et de Pewsey (photo11). Alors qu'un troisième (à Bratton Castle) a été dessiné non loin du cheval blanc de Westbury. Dans les deux premiers cas, les formations ont un axe de symétrie... qui est précisément dirigé vers le cheval blanc.
D'autre part, quatre formations sont apparues tout près d'autres sites de l'époque néolithique (Stonehenge, Silbury Hill, Windmill Hill et Avebury Manor).
Si l'on ajoute ainsi toutes les formations proches des enceintes défensives en terre, des tumulus, des « chevaux blancs » et des autres sites néolithiques, nous arrivons à un nombre de 26 glyphes localisés près d'un témoignage d'un lointain passé de l'homme (certains ont été décomptés deux fois, avec les enceintes défensives et avec les tumulus par exemple), soit la proportion remarquable de 63 %.
63 % des glyphes de 2010 étaient localisés près d'un témoignage de l'histoire ancienne de l'homme.
Il est évident que cette proportion très élevée est porteuse de sens, et que la raison d'être de ces magnifiques dessins dans les champs (ou tout au moins une partie de son sens) doit être cherchée en considérant ces localisations privilégiées des agroglyphes, ce qui confirme la validité de l'approche suivie précédemment dans la rubrique «Quel est le sens des agroglyphes ?».
Tableau récapitulatif des localisations des agroglyphes apparus en 2010
(sur 41 formations significatives étudiées)
Localisations
Nombre
Proportion
Près d'un tumulus
11
27 %
Près d'une enceinte défensive en terre (hillfort ou castle)
10
24 %
Près d'un cheval blanc
3
Près d'un autre site antique
4
Près d'un témoignage de l'histoire ancienne de l'homme
26
63 %
Dans un champ de colza
5
Dans un champ de maïs
3
Dans un champ de fèves : une technique impossible à copier !
On sait que les supports des agroglyphes peuvent être très variés, végétaux le plus souvent, mais aussi minéraux. Cette année, pour la première fois, un champ de fèves a été choisi pour accueillir un glyphe, dans le champ qui contient le tumulus long de Stoney Littleton (conté du Somerset) (photos7et12).
L'observation sur le terrain a révélé que les tiges de fèves, qui sont très rigides, ont été courbées... dans la terre, au niveau de la racine(photo13), de façon que les tiges soient couchées sur le sol ! (Charles Mallet, Silent Circle). Quelle plus belle réponse peut-on apporter aux détracteurs de l'authenticité des agroglyphes ? On savait déjà que tous les glyphes réalisés dans le colza et le lin ne peuvent pas non plus être copiés par l'homme, en raison de la grande fragilité de ces plantes.
On observe là une étape supplémentaire dans l'évolution des moyens d'expression utilisés par les auteurs des agroglyphes, qui cherchent toujours d'autres procédés simples et spectaculaires pour répondre à l'incrédulité des hommes. Mais cette application à chercher toujours de nouveaux moyens d'expression qui restent liés aux techniques de réalisation des agroglyphes, montre bien que leurs auteurs ne peuvent pas se manifester autrement et plus explicitement aux hommes. Ils ne peuvent pas s'adresser à eux par l'écriture ou le langage direct. Cette observation est encore cohérente avec l'hypothèse des esprits de la nature, qui sont des êtres très intelligents, mais qui sont attachés à la matière et ont donc des moyens d'expression limités (voir les ouvrages de Rudolf Steiner).
Mais cette évolution des moyens d'expression ne se fait pas sans difficultés. En effet, les racines des fèves sont ligneuses et fragiles, et le chercheur Mark Vidler a observé sur place qu'entre dix et vingt pour cent des tiges de fèves étaient cassées au dessous du niveau du sol, là où la tige a la texture du bois, ce qui a occasionné évidemment des pertes pour la récolte.
La même observation a été faite dans le maïs. C'est depuis deux ou trois ans seulement que, en fin de saison, un petit nombre d'agroglyphes sont réalisés dans des champs de maïs. Or les tiges de maïs sont aussi très rigides et cassantes. L'observation montre qu'une proportion relativement importante de tiges sont cassées, bien que pourtant les autres soient proprement courbées, sans montrer de trace d'application d'une force mécanique.
Un motif dessiné en trois étapes
On peut signaler aussi le dessin réalisé en trois étapes dans East Field, près d'Alton Barns, les 29 et 30 juillet, puis le 3 août 2010 (photos14, 15et16). Cette procédure en plusieurs étapes n'est pas rare, mais elle est toujours spectaculaire. Le raccordement parfait semble indiquer que les auteurs sont présents sur place, observation qui n'est pas compatible avec l'hypothèse parfois proposée que les auteurs sont des esprits qui pourraient se trouver sur d'autres planètes ou même d'autres galaxies que la nôtre...
Le nombre de 41 glyphes dans le sud de l'Angleterre, est en nette diminution par rapport aux années précédentes.
En France, un seul glyphe a été signalé, près de Limoges (photo17). Comme cela a toujours été observé, le motif représenté est plus simple que ceux qui sont habituellement dessinés en Angleterre.